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Par François Jarraud

La rentrée 2012 est très particulière. Elle sera appliquée par un gouvernement opposé à celui qui l’a préparée. Autant dire que le tableau ressemble à celui d’un vieux maître terminé par un élève. L’ossature, particulièrement budgétaire avec les 14 000 postes supprimés, reste celle de Chatel. Vincent Peillon a apporté sa touche personnelle dans la mesure où c’était techniquement possible. Mais c’est vraiment la rentrée 2013 qui sera son oeuvre.

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