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« Nous devons être très prudents dans les questions que nous leur posons ; nous ne sommes pas, à l’exception de quelques-uns, des linguistes spécialisés. Les candidats non plus. » Ainsi parlent les IPR de lettres de l’académie de Nice dans un document sur la question de grammaire à l’oral de français. Ils invitent à se limiter « cette année au programme de première et, sur ce dernier, à ce qui relève de l’analyse syntaxique », mais soulignent qu’ « on ne peut faire complètement l’impasse sur certaines notions du programme de seconde sans lesquelles on ne peut aborder le programme de première. » Contrairement à ce qui figure dans les documents d’accompagnement, les manipulations sont présentées ici comme un travail de classe, mais non une question d’examen. A consulter aussi avec intérêt : un tableau recensant une terminologie commune, 5 fiches proposant des questions de grammaire sur des textes littéraires, précisant si la question est bien ou mal posée, éclairant les points de vigilance, invitant à des reformulations, donnant la réponse attendue.

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