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La crise sanitaire a eu des effets sur la santé et la vie des gens et sur l’économie. Mais elle en a eu aussi sur leur moral et le sentiment d’isolement. C’ets cette dimension qu’étudie une recherche du Cevipof (Sciences Po). Selon elle,  » les personnes les moins éduquées disposent d’un moindre capital social et donc de sociabilités moins étendues. Corollaire de ce résultat, les personnes disposant de faibles revenus sont également moins insérées dans des relations sociales denses et fréquentes. Il n’est donc pas surprenant d’observer que les ouvriers, agriculteurs, professions indépendantes et inactifs (étudiants, sans emploi) sont les positions socioprofessionnelles les plus exposées au risque de déconnectivité sociale. »

L’étude