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 » Dans plusieurs départements, les décharges de direction sont supprimées suite au manque de remplaçant·es et des réunions intempestives sont ajoutées. Il est parfois demandé aux directrices et directeurs de se rendre disponible les week-ends pour donner de l’information aux familles… L’animation de l’équipe pédagogique est souvent sacrifiée pour répondre aux différentes sollicitations, à la mise en oeuvre d’un protocole à géométrie variable, aux diverses enquêtes, ou encore à la rédaction des projets d’école à renvoyer pour la veille », écrit le Snuipp Fsu. Le premier syndicat du premier degré dénonce le blocage sur les décharges de direction dans les discussions au ministère.  » Le ministère souhaite s’attaquer en priorité aux petites écoles sans décharge en mettant en réflexion la création d’1/8ème de décharge hebdomadaire qui pourrait se traduire par un jour de décharge toutes les deux semaines pour les écoles de une à trois classes. À la demande émise par le SNUipp-FSU et la plupart des organisations syndicales d’un quart de décharge hebdomadaire pour toutes les écoles qui n’en ont pas actuellement, la rue de Grenelle a opposé une fin de non recevoir évoquant un coût budgétaire trop important ».

Communiqué