En principe larentrée scolaire doit avoir lieu à la fin septembre. C’est ce que le ministrelibanais de l’éducation a annoncé. Mais, Le Courrier international relève quela situation économique du pays ne permet pas la rentrée. « Les parents etles élèves sont psychologiquement détruits. Les professeurs n’ont plus de quoimanger. Il n’y a ni fuel ni essence, donc ni chauffage ni moyens detransport », selon le quotidien Al Modon. L’ambassade de France a mis enplace un plan de soutien aux établissements français au Liban avec notammentdes aides aux familles.
