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 » Il y a un an, l’indispensable hommage à notre collègue était escamoté par des décisions ministérielles indignes. Il y avait besoin de temps, de recueillement, d’échanges, de paroles, il y avait besoin de collectif, de réflexion, il y avait besoin de se retrouver, tout simplement. Les temps banalisés, préalables indispensables au retour des élèves, ont été pourtant brutalement supprimés à quelques heures de la rentrée. Ils ont finalement été obtenus, parfois de haute lutte, souvent en bonne intelligence avec les personnels de direction. Mais il restera cette trace indélébile d’un hommage qu’il a fallu arracher », écrit le Snes Fsu.  » Aujourd’hui, un an après, l’heure est à l’hommage et au souvenir. Dans ce moment important pour la communauté éducative, chacun devra se montrer à la hauteur en s’abstenant de toute récupération ou instrumentalisation politique et en respectant la douleur d’une communauté éducative encore éprouvée. L’heure est à l’hommage, simplement, dignement. »

Communiqué