“Certaines associations ont vu leur financement baisser de 50 % ou 67 % en 3 ans ; à ce rythme-là, elles ne pourront bientôt plus participer activement à l’expérimentation pédagogique nécessaire à la cohésion nationale et à l’éducation des futurs citoyens et futures citoyennes de notre pays”, écrivent dans une lettre ouverte à Pap Ndiaye 5 mouvements pédagogiques, les Ceméa, le Crap, la Fespi, le Gfen et l’Icem Freinet. “Nous pensons que ce serait justice de reconsidérer l’appui de votre ministère à l’action résolue de nos mouvements pour démocratiser l’accès au savoir et à la culture, pour lutter contre les discriminations et favoriser l’émancipation intellectuelle”.
