Au lycée Emile James d’Etel (Morbihan) des enseignants interpellent leur député, maire de la ville, sur les menaces pesant sur le lycée et l’avenir des élèves, raconte Ouest France. Ils mettent en avant la question du doublement des stages en entreprises : « c’est moins d’enseignement en lycée, une poursuite d’études compromises ». La réforme prévoit aussi que les horaires des dsiciplines soient décidés localement, ce qui impactera la valeur des diplômes. Au lycée professionnel LJ Goussier de Rezé (44), toujours selon Ouest France, les enseignants « ne cessent de vilipender la reforme » qui entrainera une « diminution des heures d’enseignement professionnel et général ».
