Faut-il
sanctionner ou non une institutrice qui a frappé à coup de bâtons une de ses
élèves ? La réponse n’est pas évidente au Burkina. Selon Le Pays, le
ministère de léducation sutiendrait la maîtresse. Certains syndicats se
seraient rangés à ses cotés arguant de “l’acharnement des parents d’élèves”
et “des pesanteurs socio-éducatives” propres au pays. Le Synapager invite
ainsi à “redéfinir la notion de sévices corporels”. Pour le Synateb,
“le gouvernement doit suffisamment former l’enseignant à la maîtrise
correcte de la psychologie de l’enfant”.
Sur
All Africa