Parce que
pour elles “la première lecture du projet de loi au Parlement ne change
pas fondamentalement la politique envisagée à l’égard des personnes en
situation de handicap”, 25 organisations (Apajh, Cemea, Fcpe, JPA, Unsa
etc.) demandent une révision des fondements du texte de loi. Ils demandent
par exemple l’inscription des jeunes handicapés à l’école de leur
secteur.
Appel