La version définitive du projet de programme des séries technologiques est maintenant établie. Pour Michel Tozzi, dans le dernier Diotime L’Agora, » le point positif, c’est une plus grande détermination du programme. Mais celle-ci est restreinte parce qu’elle ne lie pas étroitement les trois notions fondamentales arrêtées au libellé des sujets du baccalauréat : il y aura donc encore une multiplicité de problématiques possibles, ce qui ne facilitera pas la préparation de l’examen. Il s’agit d’affirmer l’unité de l’enseignement philosophique dans toutes les séries : mais du coup la spécificité des enseignements dans les séries technologiques n’est pas prise en compte. Enfin les épreuves sont maintenues dans leur forme actuelle, alors que la dissertation pose de plus en plus de problème aux élèves. Les difficultés de la philosophie dans ces séries ne seront pas levées. D’où l’urgence, au-delà des programmes, d’une réflexion pédagogique et didactique… »
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/philosophie/geps-18-04-2005.rtf