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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Le PS construit un « projet alternatif crédible » pour l’Ecole

ÉDITORIAL

«Un progrès vers la culture du résultat»

LE SYSTEME

Formation des enseignants : Quels enjeux maintenant ? l Le ministère publie les indicateurs des lycées l Vers une réforme des STI ? l Des universitaires menacent de bloquer le bac l Le TBI au Mali.

L’ÉLÈVE

Le point sur la dysphasie

LA CLASSE

L’inattendu dans Le Nouvel éducateur l Soutenez le Café et découvrez l’ouvrage de Sylvain Connac.

LA RECHERCHE

Le jeu de rôle et la violence à l’école maternelle

CITOYENNETE

Il y a 15 ans le génocide des Tutsi au Rwanda

LES DISCIPLINES

SES : Ouvrez vos Cahiers l Journal intime de la reine des frelons.

LES TICE

Le colloque de l’Aquops

Le fait du jour

Le PS construit un « projet alternatif crédible » pour l’Ecole

C’est un vrai retour. Le parti socialiste remet l’Ecole au centre de ses projets. Mardi 7 avril, Harlem Désir et Bruno Julliard ont présenté à la fois un « état des lieux » de la politique éducative gouvernementale et les éléments du nouveau projet socialiste pour l’Ecole.

Bruno Julliard a dénoncé « une politique gouvernementale cohérente » aboutissant à un affaiblissement de l’école publique, marquée par l’idéologie libérale : concurrence, culte de la réussite individuelle, école à deux vitesses.

Face à elle, le P.S. publie une brochure sur « l’école en danger » et lance une série de réunions. Elles auront pour objectif de rédiger un projet socialiste pour l’école à l’horizon 2010. Le parti a identifié « 10 chantiers » soumis à débats. Le PS veut « la réussite de tous », étudie la société éducative, la petite enfance, le lycée, l’accès à l’enseignement supérieur, l’orientation, la laïcité etc.

Ce qui est particulièrement intéressant c’est que le PS se positionne sur le terrain pédagogique. Populaire ou pas, il remet en question la semaine de 4 jours à l’école primaire. Rompant avec les traditionalistes, B. Julliard fixe comme objectif la pluridisciplinarité, évoque « les nouvelles méthodes pédagogiques », la place des parents à l’école, celle des collectivités locales, l’orientation. Interrogé sur l’école primaire, il dénonce « la vision passéiste de l’école » du pouvoir. « Si l’école doit apprendre à lire, écrire, compter, elle ne se limite pas à cela. Elle doit aussi former le citoyen de demain. Sa mission ne peut se réduire à l’instruction ».

Le PS n’a pas seulement identifié la cohérence de la politique éducative néolibérale et compris que la droite s’est dotée d’une pensée sur l’Ecole. Il cherche à fonder une autre politique pour l’Ecole qui l’amène à se positionner dans le débat pédagogique. Un blog accompagne ce chantier. Vous pouvez facilement y faire entendre votre vision de l’école.

Le blog

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

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«Un progrès vers la culture du résultat»

Tel est le titre d’un article du Figaro Magazine du week-end dernier. Il s’agit en fait d’une interview de Marc Le Bris qui s’exprime sur les résultats de l’évaluation nationale des résultats des élèves de CM2. En fait, il ne prononce pas la phrase mise en exergue par le journal : « Ça n’a l’air de rien, mais c’est – à mon sens – la plus grande réforme de Darcos : une mesure collective qui fixe le même niveau d’exigence à tout le monde et qui propage en prime la culture des résultats scolaires. J’y suis très favorable, car j’estime que cette culture est beaucoup plus utile à l’école et à ses élèves que celle de la conformité idéologique ». La culture des résultats scolaires, ce n’est pas exactement la culture du résultat. Et, furtivement, Le Bris glisse cette petite phrase : « une mesure collective qui fixe le même niveau d’exigence à tout le monde » … un vieux relent de collectivisme stakhanoviste qui n’a rien à voir avec l’évaluation ? Pour lui, le plus important est de mesurer une conformité au « niveau », là où il est, à son poste de travail. Et non de mesurer la progression des élèves par rapport aux connaissances et compétences visées. C’est une application de la division taylorienne du travail que l’on questionne pourtant depuis fort longtemps (notamment dans les entreprises privées). Les enseignants sont incités à y revenir et les élèves et leurs familles sont tenus de s’y conformer. Or la culture du résultat, au regard des politiques publiques mises en œuvre, c’est un résultat statistique global qui ne dit rien sur les apprentissages ni sur les démarches. Il faut forcément une vue d’ensemble…

Le Figaro, par son titre, révèle les intentions et les objectifs de ces soi-disant évaluations. Il nous indique que nous sommes passés subrepticement de la demande d’une culture de l’évaluation -toujours souhaitée et réclamée – à une culture du résultat, finalement imposée. Or si l’on y regarde de plus près, ces deux notions sont antinomiques.

Dans la culture de l’évaluation, le Projet est constamment réévalué sur du qualitatif ; les critères sont définis à l’avance et stabilisés ; les valeurs sont partagées et définies démocratiquement ; les modalités d’évaluation, si elles sont modifiées, le sont en fonction de buts définis et clairement explicités. Ces critères sont liés aux exigences d’acquisition du socle commun de compétences et connaissances. Il appartient alors aux instances centrales à la fois de piloter (vérifier le maintien des objectifs initiaux ou généraux) et d’accompagner les acteurs (qui inventent des dispositifs).

Dans la culture du résultat, c’est au contraire le Produit qui est constamment réévalué sur du quantitatif ; les critères peuvent être modifiés en fonction des attentes (supposées) des consommateurs ; les valeurs et les buts sont légitimés par sondage ou par répétition ; les modalités d’évaluation doivent surtout être lisibles au risque de gêner l’expertise (cf « critères clairement affichés ») ou de ne pas être partagées. La structure centrale doit à la fois communiquer sur la validité des résultats et imposer des procédures à tous les acteurs.

Il devient urgent que les enseignants, les chefs d’établissement mais aussi les parents, les collectivités, les associations s’outillent – et ensemble – sur les questions d’évaluation. L’évaluation doit être, de notre point de vue, constamment mise en partage : celui qui apprend y prend part. C’est tout le contraire de ce qu’affirme Marc Le Bris, de façon toute magistrale : « Grâce à ces tests, nous allons pouvoir évaluer nous-mêmes nos résultats et progresser plus vite ». Sauf à vouloir disposer d’un outil permettant de classer et discriminer des individus par le chiffrage, justifiant ainsi « scientifiquement  » mérite et compétition d’après un comparateur arbitraire, celui d’un élève étalon… qui n’existe que dans des cerveaux conformistes et obsédés de rentabilité. La culture du résultat c’est le cheval de Troie de la normalisation sociale. Car ne mélangeons pas tout: l’évaluation c’est vérifier les progrès et les acquis des élèves et non quantifier les résultats des enseignants par rapport à des objectifs de « production » fixés à l’avance.

Ce passage, pervers et en catimini, de la culture de l’évaluation à la culture du résultat, que vit actuellement notre société ne concerne pas que le champ scolaire. Il suffit d’interroger des personnels hospitaliers, des policiers, des magistrats, des travailleurs sociaux, des chargés de mission sur la politique de la ville… Certains laissent entendre d’ailleurs que l’expression est incomplète et que le dernier mot doit être qualifié, précisé. Il faut parler dorénavant de la culture du résultat… comptable !

Jean-Claude Guérin et Olivier Masson, membres du Conseil National pour l’Ecole de Tous de la Ligue de l’enseignement

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Formation des enseignants : Quels enjeux maintenant ?

« Les concours de recrutement, notamment ceux du second degré, devraient ne plus être exclusivement tournés vers l’amont de la formation universitaire, mais comprendre des épreuves tournées vers l’aval, c’est-à-dire, vers le métier que l’enseignant devra exercer ». Dans la confusion qui règne actuellement après les dernières décisions de X Darcos, peut-on s’en tenir au rétablissement des concours d’avant-réforme ?

Non, estime Jean-Louis Auduc, directeur adjoint d’IUFM. Pour lui les anciens concours sont inadaptés à la formation des enseignants. Et il explique pourquoi…

Lisez l’article de JL Auduc

Le ministère publie les indicateurs des lycées

A quoi servent les indicateurs des lycées ? Chaque média va décliner les résultats des indicateurs publiés le 8 avril par le ministère. Ils donnent d’abord des informations sur les résultats bruts des établissements. Mais comme l’indique le ministère, « il n’y a pas de conception unique de ce qui pourrait être appelé « de bons résultats » pour un lycée. En effet, quels critères retenir pour apprécier les résultats d’un établissement ? En cette matière, les objectifs des lycéens et de leurs parents peuvent être différents. Certains privilégieront l’obtention de telle série du baccalauréat et seront alors disposés à accepter un redoublement ou à changer d’établissement pour y parvenir ; d’autres souhaiteront effectuer toute leur scolarité dans le même lycée ; d’autres, encore, désireront obtenir un baccalauréat le plus rapidement possible. Un palmarès ou un classement des lycées n’a donc guère de sens général ».

Et pourtant chaque média fait son classement. Car, même si celui-ci n’a pas grande signification (« plus qu’un résultat précis, la position dans le classement donne une idée, une tendance » écrit Le Figaro), c’est la transcription attendue par beaucoup, à commencer par certains établissements pour qui l’enjeu est important… Alors que la carte scolaire est « assouplie » ce classement sera utilisé par les familles pour accéder aux « meilleurs » établissements. L’indicateur favorise donc la mise en concurrence des établissements et la fuite des classes moyennes vers certains d’entre eux. On sait que les classes populaires utilisent nettement moins les possibilités de dérogation.

Tous les médias utilisent les mêmes données ministérielles de départ, mais privilégient différemment les indicateurs. Ainsi Le Figaro explique qu’il élimine de son classement les lycées professionnels et uniquement technologiques et qu’il prend en compte l’efficacité de l’établissement (mais dans quelle proportion ?).

Cette année, l’indicateur proposera une nouvelle donnée : le niveau scolaire des élèves à l’entrée au lycée, calculé d’après les résultats au brevet. Cet indicateur devrait permettre d’évaluer la plus-value apportée par chaque établissement. Sur ce terrain il est un peu redondant avec le taux de réussite espéré en fonction de la composition sociale des élèves.

Les indicateurs des lycées

Comment choisir son lycée

Les critère sde classement du Figaro

Vers une réforme des STI ?

« Je pense qu’il faut examiner vite et de très près la situation des STI dont les programmes n’ont pas été officiellement rénovés depuis le début des années 1990, et dont les effectifs diminuent. J’y attacherai une importance toute particulière ». A l’occasion d’un chat, Richard Descoings, chargé de la réforme du lycée, a annoncé une réforme des STI.

Article L’Express

Des universitaires menacent de bloquer le bac

D’après Libération, des universitaires en grève menaceraient de refuser de participer aux jurys du bac dans le but de bloquer l’examen. Cette proposition aurait déjà gagné plusieurs villes et universités. Si elle semble peu réaliste, elle témoigne de la force du mouvement à la veille d’une nouvelle manifestation « de la maternelle à l’université ».

Article de Libération

Le TBI au Mali

A l’invitation de l’association Repta, animée par Gabriel Cohn-Bendit, plusieurs écoles maliennes bénéficient d’un tableau blanc électronique. Mais quel intérêt ? « Cela permet d’intégrer des éléments de l’environnement dans le cours ».

TBI au Mali

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Le point sur la dysphasie

Les dysphasies sont des troubles graves du développement du langage qui persistent au-delà de 6 ans. Ils touchent 1% des enfants. La revue de l’ANAE leur consacre un important numéro qui rend compte des 2èmes rencontres scientifiques pour la recherche en neuropédiatrie (Louvain en 2006).

Ce numéro revient sur les causes de la dysphasie et met en évidence les facteurs génétiques. Il aborde aussi la question du diagnostic. Il aborde ensuite plusieurs cas de dysphasiques sourds et entendants. Le numéro conclue par des expériences de cliniciens pour aider des dysphasiques.

ANAE, n°99, septembre octobre 2008.

L’ANAE

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La classe

L’inattendu dans Le Nouvel éducateur

Voilà un numéro qui ne peut exister que dans la mouvance freinetienne. Le numéro d’avril du Nouvel Educateur donne à voir ces moments inattendus qui fleurissent en classe. Ces moments où la sphère de l’intérieur s’exprime et permet à tous de grandir. C’est ce que Laurent Ott exprime quand il parle des élèves comme des « auteurs à notre hauteur ».

Inattendu aussi ce témoignage sur la méthode naturelle d’apprentissage de l’anglais. Moins inattendus ces trucs et astuces pour gérer le bruit dans la classe.

Le Nouvel Educateur n°192

Le Nouvel éducateur

Soutenez le Café et découvrez l’ouvrage de Sylvain Connac

« Cet ouvrage est fondamental : on se demandera après l’avoir lu, comment on a pu s’en passer. Il deviendra une référence obligée pour les praticiens, comme pour les chercheurs et les formateurs » (Philippe Meirieu). Ce livre, « Sylvain Connac, Apprendre avec les pédagogies coopératives, Démarches et outils pour l’école, ESF, Paris, 2009 », s’adresse à quiconque souhaite introduire ou développer de la coopération au sein de sa classe. Cette notion de coopération s’inscrit dans la filiation des mouvements Freinet, de l’éducation nouvelle et des pédagogies actives. Et le livre de Sylvain Connac donne à la fois les pistes théoriques et les outils pratiques (fiches, organisation du temps etc.) pour se lancer.

Edité en partenariat avec le Café pédagogique, ce livre, auquel nous croyons beaucoup, est aussi l’occasion de soutenir le Café pédagogique. En effet le Café pédagogique vous offre l’adhésion au Café et l’ouvrage de S Connac pour seulement 32 euros (au lieu de 43). Cette offre est valable jusqu’à début mai.

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Participez au blog de S. Connac

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La recherche

Le jeu de rôle et la violence à l’école maternelle

« Quelle que soit l’époque ou la culture, les jeunes ont besoin de grandir dans une société qui leur apprenne les règles. Et parmi ces règles, le fait de recourir au langage plutôt qu’aux actes pour résoudre les différents est essentiel. Mais ce résultat ne peut pas être obtenu seulement en développant l’aptitude linguistique. Rien ne prouve en effet que ceux – jeunes ou adultes – qui ont une plus grande capacité d’expression soient moins enclins que les autres à avoir recours à la violence physique… Pour avoir quelques chances de réduire les violences, ce n’est pas seulement l’aptitude au langage qu’il faut développer mais l’habitude d’y avoir recours. Et pour cela, il faut créer précocement une pression sociale qui incite à orienter dans ce sens les stratégies relationnelles ». C’est cette idée que Serge Tisseron a développé dans une expérience menée dans les écoles maternelles franciliennes d’Argenteuil et de Gonesse.

Il a fait le pari que le jeu de rôle pratiqué en maternelle à partir des images qui bouleversent les enfants peut réduire la tentation de recourir à la violence. Le résultat corrobore cette idée. Les enfants qui pratiquent ces jeux sont moins violents.

Le rapport

Tisseron dans le Café

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Citoyenneté

Il y a 15 ans le génocide des Tutsi au Rwanda

En 1994, près d’un million de Tutsis étaient massacrés au Rwanda. Le Mémorial de la Shoah consacre plusieurs conférences et tables rondes à cet événement.

L eprogramme

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Les disciplines

SES : Ouvrez vos Cahiers

« Les SES sont nées et ont évolué dans un processus de démocratisation de l’école : quel a été le rôle de cette discipline nouvelle dans ce processus ? Comment les programmes, qui ont su être innovants dans leur conception, ont-ils évolué ? De quelles valeurs – en miroir avec les évolutions sociétales – sont-ils porteurs ? À ces questions posées dans l’ouverture du dossier font écho dans la dernière partie les interrogations actuelles : que reste-t-il du projet initial des SES aujourd’hui ? Faut-il repenser les SES, tout en s’appuyant sur les recherches en éducation, comme le préconise Alain Legardez ? » Ainsi s’ouvre ce numéro 472 des Cahiers pédagogiques consacré aux S.E.S.

Alors que cette discipline est videment attaquée et menacée, ce numéro en entreprend la défense , englobant au passage celle de la filière ES. Le numéro propose des séquences pédagogiques, des pratiques pluridisciplinaires. Deux sociologues, Jérome Deauviaeu et Bernard Lahire nous invitent à voir ces espaces avec ce regard.

Cahiers pédaggiques n°472

Journal intime de la reine des frelons

Ca pourrait s’appeler « Seule au monde ». La Hulotte propose pour son numéro 92 un « journal intime de la reine des frelons » alerte, piquant, précis qui amène le lecteur à vouloir en savoir plus sur cette espèce décriée. Encore une fois la rédaction de la Hulotte fait un vrai cadeau aux lecteurs de 7 à 77 ans.

Le numéro

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les tice

Le colloque de l’Aquops

Les TICE sont à l’honneur au colloque de l’Aquops qui réunit du 7 au 9 avril, à Sherbrooke, Québec, des centaines d’enseignants. Parmi le strès nombreux ateliers, on relève des sujets particulièrement intéressants. Ainsi l’utilisation du Teachermate, un mini ordinateur, très proche de la petite console de jeu, qui est utilisé au primaire pour réviser de l’anglais ou de smaths. Ou encore le travail de mise en réseau des petites écoles rurales dans le cadre d’un projet officiel. Une autre équipe travaille l’estime de soi en s’appuyant siur les tic.

Le colloque

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le Cafe

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