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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Evaluations de CM2 : « Le Ministère se heurte au refus d’un dispositif dont les objectifs politiques ne sont pas clairs » …

ÉDITORIAL

Faut-il sauver la cursive ?

LE SYSTEME

ECLAIR : Un démantèlement de l’éducation prioritaire ? l Les syndicats UNSA dénoncent la « catastrophe » de la masterisation l Les syndicats boudent les voeux élyséens l Le Snalc dépose un préavis de grève l Un député veut supprimer la plupart des fonctionnaires l La crise politique ivoirienne frappe l’Ecole

L’ÉLÈVE

Les étudiants presque des salariés comme les autres… l Après le bac, choisir dès le lycée

LA CLASSE

Bac option théâtre : Valère Novarina, un auteur face aux élèves l Poésie en liberté

LA RECHERCHE

Multidys et retard mental…

CITOYENNETE

Le Défenseur des droits va-t-il les enterrer ?

LES DISCIPLINES

S.V.T. : Le Drosophile s’attaque à l’homme l S.E.S. : L’Apses convoque des Etats généraux le 5 février l Géographie des SDF

Le fait du jour

Evaluations de CM2 : « Le Ministère se heurte au refus d’un dispositif dont les objectifs politiques ne sont pas clairs »

Auteur d’un rapport européen sur les effets des évaluations standardisées et sur les politiques d’évaluations, Nathalie Mons ne voit pas seulement dans les évaluations de CM2 « une formidable régression technique ». Elles sont aussi le résultat des errements des politiques.

Cette année encore les évaluations nationales de CM2 sont mal parties et il faudra probablement à la DEPP quelque « coefficient correcteur » pour leur donner sens… Quel regard porte le chercheur sur ces péripéties ?

Il y a deux façons de créer des évaluations standardisées comparables dans le temps. Soit on crée initialement une base de données d’items avec des correspondances entre eux en termes de difficultés, correspondance testées à l’avance, ce qui est la meilleure solution. Soit, quand on a raté le début d’une opération, on peut créer de nouveaux items que l’on raccroche a posteriori à ceux passés lors des premières épreuves, par un travail de rajustement statistique tel qu’il a été réalisé l’année dernière par la DEPP. Pour un acteur qui a des compétences techniques aussi solides que la DEPP les deux solutions sont valides scientifiquement. Par contre politiquement la seconde peut entraîner un fort risque de perte de légitimité de l’instrument statistique, c’est ce qui se passe actuellement.

Lisez la suite de l’entretien avec N. Mons

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Faut-il sauver la cursive ?

Dans quelques semaines l’état de Virginie, aux Etats-Unis, aura à décider de la disparition ou du maintien de l’enseignement de l’écriture cursive dans ses écoles.

Le phénomène n’est pas propre à cet état américain. La presse américaine signale son érosion rapide depuis une année. Ainsi à l’Université de Portland (Oregon) on compterait seulement 15% des travaux écrits en cursive. Les autres sont écrits en majuscules d’imprimerie.

Plusieurs facteurs expliquent ce déclin de la cursive. Paradoxalement un des facteurs tient à l’école. En Georgie les évaluations obligatoires qui se sont imposées à l’école évaluent beaucoup de choses mais pas l’écriture cursive. Son apprentissage, assez long, est donc considéré comme du temps perdu par rapport à tout ce qui est évalué et a des retombées sur l’avenir de l’école.

Mais le principal facteur c’est bien sûr le développement des TIC. La plupart des enfants savent utiliser un clavier avant d’apprendre à tracer des cursives. Ils se tournent naturellement vers le mode d’écriture et de lecture sur ordinateur. L’école les aide puisqu’en université les travaux ne sont même plus écrits manuellement. En Georgie, à partir de cette année, les tests de 4ème et de 1ère seront faits sur ordinateurs , y compris la rédaction.

Faut-il laisser mourir l’écriture cursive ? Des enseignants estiment qu’il ne sert à rien de lutter contre une évolution qui semble inévitable car liée à une évolution des pratiques culturelles. Après tout ce ne serait pas la première écriture à disparaître. Les paléographes savent que les évolutions sociales pilotent les graphies. Les défenseurs de la cursive ont aussi des arguments sérieux. Ils soulignent les difficultés de communication entre générations et même entre élèves et professeurs. Enfin ils s’interrogent sur l’impact de cette disparition sur la construction de la pensée. L’écriture manuelle engage le corps et les sens dans la construction de la pensée d’une façon différente que le clavier.

Dans l’Oregon

En Georgie

Sur un forum d’enseignants

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ECLAIR : Un démantèlement de l’éducation prioritaire ?

L’annonce de la mise en place du dispositif ECLAIR à la rentrée 2011, conjointement avec les suppressions massives de postes, font craindre l’effondrement de l’éducation prioritaire.

« La reconnaissance bien tardive par le ministère du rôle et de l’importance de l’école primaire pour favoriser la réussite scolaire ne peut cacher de nombreuses inquiétudes », annonce le Snuipp. « Quel sort est réservé aux écoles en RAR et RRS ? Que sera le devenir des coordonnateurs de réseaux ? Qui pilotera le dispositif ? Quel sera l’avenir des maîtres surnuméraires et des enseignants référents ? » Pour le syndicat, «  Oui, les maîtres supplémentaires sont un facteur d’efficacité et de meilleure prise en charge des élèves en difficultés, oui la formation et le travail en équipe y compris entre les écoles et les collèges sont indispensables, oui, les enseignants-référents jouent un rôle important dans le fonctionnement de ces réseaux. Ces leviers doivent être réaffirmés, consolidés et reconnus au sein de toute l’éducation prioritaire notamment dans les RRS. Le SNUipp refuse que cette extension des CLAIR soit un prétexte au démantèlement complet de l’éducation prioritaire ».

Ce sont les informations qui remontent du terrain qui alimentent ces craintes. Ainsi dans les Hauts-de-Seine, le Sgen Cfdt crie au scandale. « Nous ne pouvons pas accepter dans le département le plus riche de France cette nouvelle répartition des moyens qui nie les logiques de territoires concentrant l’exclusion sociale, la précarité des familles ou encore des conditions de logement indignes ». En effet, le recteur de Versailles doit rendre 493 postes. Il a annoncé qu’il protégerait les collèges dont plus de 51% des élèves appartiennent à des PCS défavorisés. Dans le 92 cela ne concerne plus que 5 collèges et leurs écoles. « Qu’adviendra-t-il pour les 23 autres réseaux actuels ? », demande le Sgen. Le syndicat montre que les mêmes effets sont attendus dans l’Essonne : 6 réseaux d’éducation prioritaire verront leurs moyens disparaître dans une proportion encore inconnue. Ils pourraient perdre les postes surnuméraires et le seuil du nombre d’élèves (déjà à 25 en RRS) pourrait encore augmenter. Le nouveau dispositif ECLAIR , déjà suspecté d’une origine sécuritaire, est maintenant perçu comme le vecteur d’une liquidation de l’éducation prioritaire.

Sur le site de l’OZP, Jean-Paul Tauvel voit dans le dispositif ECLAIR une étape dans la constitution d’un « marché scolaire ». « Les risques de dérive ségrégationniste sont bien réels et rien ne prouve pour l’instant que la charge idéologique qui a présidé, comme on l’a vu, à la mise en place de Clair, soit dissipée, et cela à quelques mois du démarrage d’une campagne électorale qui s’annonce déjà lourde d’enjeux éducatifs ».

Communiqué Snuipp

Communiqué Sgen 92

Sgen 91

ECLAIR : est-ce la guerre ?

Article OZP

Les syndicats UNSA dénoncent la « catastrophe » de la masterisation

« La mise en œuvre de la mastérisation confirme les craintes de la fédération UNSA Éducation et de ses syndicats concernés par le dossier (SE-UNSA, SEA-UNSA, Sup’Recherche-UNSA, SI.EN-UNSA, SNIEAP-UNSA, SNPDEN-UNSA, A&I-UNSA, SNPTES-UNSA). Les ministres successifs et leurs alliés ont mis en place un dispositif ingérable, contraire aux intérêts des élèves, des étudiants et des enseignants, mais de nature également à déstabiliser sensiblement le fonctionnement des établissements ».

L’UNSA s’appuie sur un article d’Educpros sur le rapport entre candidats et postes aux concours de l’enseignement qui prévoit des taux de réussite records en 2011 compte tenu de la fuite des candidats. Ainsi en maths il pourrait y avoir 71% de reçus ! Une information que le Café vous avait donnée dans l’Expresso du 14 décembre 2010.

Pour l’Unsa, « ou bien cette prétendue mastérisation se poursuivra, et aux difficultés d’aujourd’hui succèdera une catastrophe demain ; ou bien une remise en cause fondamentale permettra le plus rapidement possible de mettre en place un système fondé sur l’alternance professionnelle indispensable pour mieux former les enseignants dans l’intérêt premier de leurs élèves ».

Communiqué

L’Expresso du 14 décembre 2010

Les syndicats boudent les voeux élyséens

« La situation que nous vivons aujourd’hui est exceptionnelle, sans précédent depuis plusieurs dizaines d’années. Les mesures prises sous la responsabilité du chef de l’État sont par leur ampleur et leurs conséquences d’une telle gravité pour la très grande majorité des citoyens et pour l’avenir de notre pays que la présence de la FSU à ces vœux apparaît impossible », annonce B. Groison de la FSU. La FSU et ses syndicats ne seront donc pas présents à la cérémonie des voeux du 19 janvier. L’UNSA a adopté la même position, évoquant « une cérémonie teintée d’hypocrisie alors que les réductions budgétaires massives portent atteinte aux établissements ». Christian Chevalier, du Se-Unsa et Patrick Roumagnac, du SIEN Unsa ont annoncé également leur absence.

Le Snalc dépose un préavis de grève

Le Snalc-Csen estime que « l’ampleur des suppressions (de postes) n’est plus supportable pour l’Institution ». Il annonce qu’il dépose « des préavis de grève reconductible à partir du 24 janvier 2011 afin de soutenir toutes les actions locales et permettre à tous les collègues qui le souhaitent de réagir quand les besoins s’en feront sentir ».

Un député veut supprimer la plupart des fonctionnaires

« Réformer le statut de la fonction publique en France, en le resserrant autour des fonctions régaliennes, aurait des conséquences hautement bénéfiques », estime le député UMP Jean-François Mancel. Il a déposé une proposition de loi en ce sens.

La proposition de loi

La crise politique ivoirienne frappe l’Ecole

Selon un communiqué de l’IRIN, un office de presse de l’ONU, la situation scolaire est en train de se dégrader rapidement en Côte d’Ivoire du fait de la situation politique. Dans le nord du pays, contrôlé par les partisans de M. Ouattara, un appel à la désobéissance civique tant que Gbagbo est au pouvoir a vidé les écoles de leurs enseignants. Près d’un million d’élèves ont quitté l’école. Dans el sud, sous contrôle de L Gbagbo, « les écoles sont officiellement ouvertes mais des violences sporadiques perturbent les emplois du temps ».

Article IRINnews

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Les étudiants presque des salariés comme les autres…

Une étude de l’Observatoire de la Vie étudiante (OVE), une structure créé par le ministère de l’éducation nationale et liée aux syndicats et mutuelles étudiants, montre que les inégalités entre les étudiants et la poussée du salariat.

Presque un étudiant sur deux est locataire, affirme l’OVE, alors que seulement 37% habite un logement occupé par sa famille. L’enquête montre aussi que 68% des étudiants ont un emploi parallèle à leurs études. C4est d’ailleurs leur première source de revenus (en moyenne 619 € par mois), devant les aides publiques (339 €) et les versements familiaux (295€).

Le monde étudiant est traversé de la même montée des inégalités que le monde du travail. « Les enfants de cadres supérieurs sont surreprésentés dans l’enseignement supérieur » affirme l’OVE, particulièrement en management, santé, CPGE et écoles di’ngénieurs. Les enfants d’ouvriers et employés sont sous représentés sauf en STS et IFSI. La part des enfants de milieu favorisé a augmenté depuis 2006, particulièrement dans les filières « nobles ». Les inégalités de genre existent aussi. « Les filles sont plus nombreuses que ls garçons dans l’enseignement supérieur : 56% », note l’OVE. Mais « la féminisation est très inégale selon les filières : les filles sont nettement minoritaires dans les formations d’ingénieurs ». Elles sont aussi minoritaires en doctorat (47%) alors qu’elles sont 56% en licence.

L’enquête

Après le bac, choisir dès le lycée

Le guide 2011 « après le bac, choisir dès le lycée » de l’Onisep dresse un panorama des études supérieures. Il permet de découvrir les filières post bac , de choisir son cursus etd e repérer les établissements de formation. On peut ainsi connaître les filières le smieux adaptées à son bac, comprendre les particularités des formations et enfin retrouver les coordonnées de milliers d’établissements du supérieur. Le Guide se penche aussi sur les débouchés pour chaque secteur d’activités : données sur l’emploi, métiers et formations. Des vidéos sont aussi accessibles sur mobile.

Le guide

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La classe

Bac option théâtre : Valère Novarina, un auteur face aux élèves

A l’occasion du cycle qu’il consacre à l’écrivain Valère Novarina, le théâtre de l’Odéon accueillait lundi 17 janvier, à l’initiative du Ministère de l’Éducation et du Scérén-CNDP, des classes d’élèves de lycée préparant l’option théâtre au bac, venus rencontrer in vivo l’auteur inscrit à leur programme. L’après-midi a vu se succéder sur un rythme soutenu échanges avec l’auteur, lectures de textes par les élèves, interventions musicales et projections d’extraits. Un curieux moment de découverte réciproque, où la sympathie et la patience ont aidé à franchir une partie du grand écart qui séparait les interlocuteurs.

Lisez le reportage du Café

Poésie en liberté

Chaque année plus de 5 000 apprentis poètes participent à « Poésie en liberté », un concours soutenu par l’éducation nationale. Il s’adresse aux jeunes de 15 à 25 ans, lycéens ou étudiants, de tous les pays. L’inscription est ouverte jusqu’au 10 avril.

Le concours

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L’offre établissements

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La recherche

Multidys et retard mental

Comment distinguer un enfant multidys d’un cas de retard mental ? Tout le numéro n°110 de la revue de l’ANAE tente d’apporter une réponse à cette question en multipliant les études de cas. Finalement on souligne « l’absence de frontière nette entre multidys et retard mental, mais plutôt d’un continuum ». Au passage J Grégoire aura montré les conditions à respecter pour utiliser les tests d’intelligence. Des enseignantes spécialisées, un COPsy témoignent du suivi de ces jeunes et de leur devenir scolaire.

Anae

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CITOYENNETE

Le Défenseur des droits va-t-il les enterrer ?

L’Assemblée nationale a adopté le 18 janvier en première lecture la loi organique créant un « défenseur des droits ». Cette nouvelle autorité semble surtout destinée à éradiquer des autorités jugées trop indépendantes.

Le nouveau Défenseur des droits remplacera la Halde, la Commission nationale de déontologie de la sécurité, le Controleur général des lieux de privation de liberté et le Défenseur des enfants, toutes autorités qui avaient fait preuve d’une indépendance reconnue. Ce sera bien différent pour le défenseur, nommé en conseil des ministres et donc dépendant du président de la République et chargé de remplacer toutes ces autorités à lui seul.

Les députés ont sauvé des éléments du Défenseur des enfants. « Sur proposition du Défenseur des droits, le Premier ministre nomme un adjoint dénommé « Défenseur des enfants » » précise le projet de loi. « Le Défenseur des enfants, en tant qu’adjoint, peut être saisi directement des réclamations qui lui sont adressées : 1° Par un enfant lorsqu’il invoque la protection de ses droits ou une situation mettant en cause son intérêt ; 2° Par les représentants légaux de l’enfant, les membres de sa famille ; 3° Par les services médicaux ou sociaux ; 4° Par toute association régulièrement déclarée depuis au moins cinq ans à la date des faits et se proposant par ses statuts de défendre des droits des enfants ».

Pour l’Unicef, qui s’était battue pour le maintien du défenseur des droits, « l’impossibilité pour le défenseur des enfants de s’autosaisir des situations mettant en cause l’intérêt supérieur et les droits de l’enfant, la non prise en compte automatique des recommandations du défenseur des enfants par le défenseur des droits… restent des principes qui vont à l’encontre des positions défendues par l’Unicef ».

Le projet de loi

Les enfants perdent leur protecteur

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Les disciplines

S.V.T. : Le Drosophile s’attaque à l’homme

« L’Homme a cette particularité, par rapport aux autres bestioles, de se demander sans cesse ce qu’il fait là, d’où qu’il vient et où qu’il va comme ça. Pas chienne, la Drosophile s’est penchée pour vous sur ce cas bizarre du règne animal ». La petite revue scientifique n’hésite pas à l’écrire : l’homme est un animal mais c’est le seul qui lira ces lignes ! » Elle revient sur l’évolution de l’homme, sur la question de sa définition, sur ses relations avec les autres espèces animales. Un numéro qui devrait passionner les collégiens et leurs parents.

Drosophile n°5

Le sommaire

S.E.S. : L’Apses convoque des Etats généraux le 5 février

L’association des professeurs de SES veut faire de cet événement un moment important pour les actions qu’elle entreprend face aux nouveaux programmes de SES. « Lors de cette journée, nous vous proposons de faire le point et de tracer des perspectives d’action sur les évolutions à la fois de la place (le matin) et du contenu (l’après-midi) de l’enseignement des SES ». Les Etats généraux auront lieu à Paris le 5 février 2011.

Le communiqué

Géographie des SDF

L’Observatoire parisien de l’insertion et de la lutte contre l’exclusion propose une étude tout à fait originale sur les caractéristiques la localisation des sans-abri parisiens. L’étude montre que les SDF se concentrent particulièrement près des gares et dans le centre de Paris. La géographie des centres d’accueil se plie à une autre loi : la fameuse coupure est – ouest dans la capitale… Elle montre également l’écart important entre la population estimée et le nombre d’hébergements d’urgence. Elle dresse aussi le profil des SDF et leur parcours.

L’étude

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