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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Mission des profs documentalistes : « Une vision essentiellement techniciste et passéiste du métier »…

ÉDITORIAL

Un socle commun de formation pour les enseignants ?. »

LE SYSTEME

La Conférence sur les rythmes scolaires remet aujourd’hui son rapport l 44 nouvelles prépas en 2011 l Une pétition pour les salaires l Comment perdre son poste à cause du vol d’une clé USB l Québec : Un modèle pour l’école française ?

L’ÉLÈVE

Tu seras ingénieure l La loi Ciotti passe mal.

LA CLASSE

Du 2 au 5 février Expolangues 2011 l Journée de la mémoire des génocides.

PARTENAIRES

L’Université Paris Créteil accueille des lycéens de première et seconde.

LA RECHERCHE

Lille : Colloque ACRD : Comment définir l’objet de l’enseignement ? …

LES DISCIPLINES

Cérémonie d’ouverture de l’Année Internationale de la Chimie l Français : Quelles tensions ? Quels équilibres ? l Dictionnaire des belgicismes.

Le fait du jour

Mission des profs documentalistes : « Une vision essentiellement techniciste et passéiste du métier »

La nouvelle mouture du projet de circulaire de mission des professeurs documentalistes fait déjà couler l’encre ! A peine reçue par les syndicats, elle soulève des tempêtes sur les listes de discussion professionnelles. Si certains enseignants se disent favorables à ce texte, d’autres le jugent peu respectueux de leur métier.

Le Café a sollicité le ministère et la Fadben (Fédération des enseignants documentalistes de l’Education nationale). Pour le moment seule celle-ci a fait connaître son point de vue. Pour la Fadben, le projet de circulaire ne répond pas aux attentes du métier.

Lisez l’entretien avec la Fadben

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

Un socle commun de formation pour les enseignants ?

Deux nouvelles importantes dans les annonces récentes sur la formation : d’abord une déclaration présidentielle sur la volonté de remettre en chantier la formation initiale des enseignants. Avec un principe d’une grande sagesse, selon ses mots mêmes : « Il ne faut pas avoir peur d’améliorer en permanence notre système ». Il semble qu’en l’occurrence, l’amélioration permanente soit actuellement peu manifeste, et que le risque d’excès de qualité soit effectivement assez mince.

Volonté d’occuper le terrain sur un front qui risque d’avoir besoin de déminage en perspective des cantonales, eut égard à la carte scolaire annoncée ? Bonne fille, la conférence des directeurs d’IUFM a décidé de ne pas répondre à la provocation et a indiqué au président qu’elle était prête à être force de proposition.

C’est en examinant deux récentes propositions de loi UMP (ballons d’essais ou véritables projets ?) que des convergences se font : l’une envisage de ne plus recruter de fonctionnaires, sauf pour les fonctions régaliennes, l’autre vante l’importance cruciale de la formation, initiale et continue, et propose de la développer d’urgence… pendant les vacances. Au risque de donner raison à ceux pour qui l’équation masterisation + suppression des concours + recrutements de vacataires masterisés = suppressions des postes de remplacements + formations hors du temps de travail se fait naturellement.

Bon. Acceptons provisoirement les cohérences présumées.

Mais quel projet alternatif ? On a vu a quel point les protestations contre les conséquences de la masterisation rassemblaient des points de vue très opposés sur ce que doit être la formation. Si chacun invite à la « professionnalisation », la conception de l’alternance varie : formation disciplinaire, puis formation professionnelle à la « tenue de classe » ? Préparer au métier, oui, mais à quel métier ? Et avec quels formateurs ? Il semble bien que plus personne ne défende l’antique division du travail de ceux-ci, entre les « théoriciens » et les « maîtres d’application ». Qui donc a compétence pour comprendre les « problèmes de débutants », et bien au-delà les « problèmes de métier » auxquels tout enseignant est soumis au quotidien ? Force est de constater que la formation de formateurs, qu’ils travaillent dans les IUFM, ou sous la responsabilité des inspecteurs, est tellement en souffrance que ces problèmes sont bien peu problématisés. Du coup, les démiurges sont pléthore, qui réinventent sans rien connaître de l’histoire.

Il semble cependant que c’est vers un axe connexe qui risque d’irriguer la campagne électorale concernant l’éducation : la réorganisation du système d’enseignement vers une rupture de la césure école-collège. En témoignent les diverses propositions, de droite ou de gauche, de la mise en œuvre d’une école du « socle commun » regroupant école et collège (tout ou partie) et modifiant le service des enseignants, avec la perspective d’une réduction progressive de la polyvalence au cours du parcours. Qu’on l’appelle de ses vœux ou qu’on la craigne, pour des raisons différentes, cette modification restructurerait les relations entre le « primaire » et le « secondaire », et serait de nature à bouleverser de très anciens clivages, y compris syndicaux. Dans ce contexte, la formation ne serait un avatar secondaire de la question de la définition du métier d’enseignant, du service réglementaire et des parcours des élèves.

Gageons que ceux qui aspirent à construire pour 2012 des projets alternatifs feraient bien de présenter rapidement des perspectives globale sur ces questions, s’ils veulent que le débat public sur ces questions gagne en cohérence…

Marcel Brun

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La Conférence sur les rythmes scolaires remet aujourd’hui son rapport

Le comité de pilotage de la Conférence nationale sur les rythmes scolaires remet le 25 janvier son rapport au ministre de l’éducation nationale.

Installé en septembre 2010, le comité de pilotage est piloté par Christian Forestier, administrateur du Cnam et Odile Quintin, ancien directeur général de l’éducation à la commission européenne. Il compte 16 membres : des experts (Eric Debarbieux, Georges Fotinos, Bernard Hugonnier, François Testu, Yvan Touitou), des cadres de l’Education nationale (Patrick Gérard, Roger Bambuck, Monique Sassier), des représentants de l’industrie du tourisme ou du sport ou encore d’organisations proches du pouvoir (Institut Montaigne). S’y ajoutent 9 élus, majoritairement des députés et sénateurs, les collectivités territoriales (pourtant premières concernées !) n’ont que 3 sièges. C’est d’ailleurs la signature de ce Comité : les premiers intéressés n’y sont pas. Il n’y a ni syndicat d’enseignants, ni organisation lycéenne, ni association de parents.

Ce rapport sort après deux textes importants. Sous la houlette de la JPA, les acteurs de l’Ecole (enseignants, collectivités locales, parents, mouvements pédagogiques) ont réussi à trouver un consensus sur les questions de rythmes scolaires. Enfin Xavier Breton et Yves Durand ont remis pour la commission des affaires culturelles de l’Assemblée (commission Tabarot) un rapport qui va plus loin que la question des rythmes et peut-être même trop loin…

Si tout le monde est d’accord pour améliorer les rythmes scolaires, les acteurs ont tous des intérêts à défendre voir des conquêtes à mener. C’est dire que le pré-rapport du comité de pilotage est très attendu. Le rapport Tabarot arrive ainsi à faire passer, sous couvert de l’intérêt es enfants,; des exigences anciennes de la RGPP comme, par exemple, les cours magistraux devant 120 lycéens… Le consensus construit autour de la JPA ne fait pas forcément le bonheur du lobby du tourisme et de celui du commerce, fort puissants semble-t-il.

Le rapport parlementaire a mis en évidence qu’il était possible que la réforme se fasse sur le dos des enseignants. Jouer sur les rythmes scolaires permettrait aussi d’économiser des postes dans le secondaire et de réorganiser le primaire dans le sens autoritaire souhaité par le gouvernement. Les enjeux vont donc bien au-delà des calendriers. Le Café est présent ce matin à la remise du rapport.

L’accord de la JPA

Installation du comité

Le rapport

Le débat tourne en rond

Quels intérêts sert le débat ?

44 nouvelles prépas en 2011

Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a annoncé pour la rentrée 2011, l’ouverture de 44 nouvelles classes préparatoires : 42 classes préparatoires aux grandes écoles (30 dans le public, 12 dans le privé) et 2 classes préparatoires aux études supérieures. La moitié concerneront la voie technologique.

Communiqué

Une pétition pour les salaires

« Des années de politique de moindre augmentation de la valeur du point par rapport à l’inflation ont conduit à une perte considérable du pouvoir d’achat de tous les agents de la Fonction publique de l’hospitalière, de la territoriale et de l’État », écrivent les syndicats CGT, CFTC, CGC, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA. Ils lancent une pétition pour demander une revalorisation salariale.

La pétition

Comment perdre son poste à cause du vol d’une clé USB

C’est une histoire pas ordinaire qui est arrivée à Françoise V., professeur de physique-chimie détachée dans un lycée huppé de Monaco. Victime du piratage de sa clé USB par un élève, elle a été renvoyée expresso en France par le prince de Monaco.

A découvrir

Québec : Un modèle pour l’école française ?

« Pourquoi le Canada est-il parmi les premiers de la classe ? » demande un récent rapport de la Commission de la culture du Sénat rédigé par J Legendre, JL Dupont, D Assouline, JP Leleux, C Domeizel et B Gonthier-Maurin. Ce cri est entendu aussi en Angleterre où le Guardian, le 4 janvier, demandait aussi si l’école canadienne est un modèle pour le Royaume-Uni. Et de fait les résultats de PISA montrent que le Canada peut s’enorgueillir d’une certaine réussite scolaire.

Une semaine québécoise. Autant y aller voir de plus prêt. Le Café vous propose une « semaine québécoise », avec des entretiens avec des acteurs et des experts du système éducatif québécois. Mais plantons d’abord le décor d’un système éducatif qui fait rêver parlementaires français et journalistes britanniques.

Celui qui veut connaître le vrai niveau du système éducatif canadien et du québécois peut consulter la derniere édition de PISA. En lecture, le score moyen du Canada est de 524, nettement au-dessus de la moyenne OCDE (496), le Canada se placant au 6ème rang. Les résultats du Québec sont à peine inférieurs à la moyenne canadienne. En maths,le Canada est à la 10ème place mondiale, le Québec caracolerait à la 5ème place mondiale s’il était un territoire indépendant. Mais le système éducatif se distingue aussi par une plus grande égalité, avec un taux d’élèves faibles peu important.

Pourquoi ces résultats ? Cela nos parlementaires l’ont bien vu. Et ils s’interrogent sur cette réussite. Ils soulignent « une gestion locale de l’éducation » avec des commissions scolaires élues par les habitants. Ils insistent aussi que l’aide apportée aux élèves à risque. « Contrairement à la FRance », disent-ils, « le Canada identifie l’origine des élèves en difficulté , avec notamment la catégorie des populations minoritaires.. Les actions sont ensuite ciblées de façon adaptée ». Une grande importance est accordée aux TICE. Enfin le pays consacre 6,5% de son PIB à l’éducation, contre 6% en FRance. On verra que c’est encore nettement plus important au Québec.

Le Guardian explique la réussite du Canada par un facteur clé : la liberté. IL vante la liberté des chefs d’établissements qui contrôlent leur budget, et construisent une culture d’établissements. Liberté encore des commissions scolaires locales. Liberté enfin des parents. Pour le GUardian c’est la compétition entre écoles, fruit de toutes ces libertés, qui fait marcher le système. Nos grands témoins nous diront dès demain ce qu’ils en pensent.

Rapport du Sénat

Article du Guardian

Canada et PISA

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Tu seras ingénieure

« Ne laissons pas les stéréotypes prendre notre place ». Sous ce slogan, les associations Pascaline et Elles bougent mènent en 2011 une opération nationale de sensibilisation aux questions liées à l’orientation et à l’emploi des jeunes femmes dans les secteurs des technologies, traditionnellement perçus comme exclusivement masculins. Avec quelques questions bien posées : Pourquoi les filles ingénieures ne sont-elles pas plus nombreuses ? Quelle place peuvent-elles prendre sur le marché du travail ? Comment organisent-elles leur vie professionnelle ?

Pour répondre à toutes ces questions et faire reculer les stéréotypes, les deux associations organisent des rencontres et vous proposent un dépliant et un argumentaire pour mettre KO les stéréotypes.

Tu seras ingénieure

La loi Ciotti passe mal

Mise en application par un décret paru le 23 janvier, la loi Ciotti, qui supprime les allocations familiales aux familles ayant un enfant absentéiste, sera supprimée promet le parti socialiste. Elle rencontre aussi l’hostilité du Se-Unsa pour qui  » pointer du doigt les « absentéistes » et leurs familles, montre qu’une nouvelle fois, avec cette vieille ficelle des « classes dangereuses », le gouvernement fait le choix de la stigmatisation. Il s’agit finalement d’instrumentaliser l’École pour détourner l’attention de l’opinion sur l’incapacité de la majorité à faire face aux problèmes sociaux qui minent notre société ».

Communiqué Se Unsa

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La classe

Du 2 au 5 février Expolangues 2011

L’invité d’honneur de 2011 est l’arabe. Du 2 au 5 février à Paris, Expolangues accueille 200 expoosants : écoles, organismes de formation, organismes de séjour, entreprises du multimédia, éditeurs, offices de tourisme. L’APLV y organise deux tables rondes sur les langues au primaire et le bac.

Expolangues

Journée de la mémoire des génocides

Fixée au 27 janvier, la journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité « fournit l’occasion d’une réflexion sur les valeurs fondatrices de l’humanisme moderne, tels la dignité de la personne et le respect de la vie d’autrui, qu’il importe de transmettre aux enfants de notre pays », déclare le B.O. du 6 janvier 2011 qui invite les établissements à se mobiliser. « La communauté éducative dans son ensemble est invitée à s’associer à cette commémoration. Les enseignants engageront une réflexion avec leurs élèves sur la Shoah et les génocides, en liaison avec les programmes d’enseignement. À l’échelle de l’établissement, des manifestations ou des activités pédagogiques spécifiques peuvent être organisées : rencontres avec des témoins, conférences, mais aussi débats autour d’un film, d’une exposition ou d’une représentation théâtrale, etc. Les équipes pédagogiques seront bien sûr attentives à ce que les activités proposées aux élèves soient adaptées à leur âge. »

La circulaire

Enseigner la Shoah : Le dossier du Café

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Etablissement partenaire

L’Université Paris Créteil accueille des lycéens de première et seconde

Orientation Active dans les filières de lettres, langues et sciences humaines. Depuis le 14 janvier l’UPEC ( Université Paris Est Créteil) reçoit pour le deuxième année les lycéens dans le cadre de la mise en œuvre du Projet Veni, Vidi, VIci. Au programme pour cette deuxième année des classes de seconde et de première de six lycées du Val de Marne (François Arago/ Villeneuve Saint Georges, Guillaume Budé / Limeil-Brévannes, Léon Blum/ Créteil, Christophe Colomb / Sucy en Brie, Romain Rolland / Ivry, Saint-Exupéry / Créteil):

– des ateliers de formation proposés à 90 lycéens de classes de première de trois lycées du Val de Marne pour préparer la réalisation d’un « clip métier

– et pour les secondes 3 journées à l’UPEC pour s’informer et récupérer « la matière » qui permettra la réalisation de journaux , romans photo et posters.

En savoir plus

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Lille : Colloque ACRD : Comment définir l’objet de l’enseignement ?

Le second colloque international de didactiques comparées, organisé à l’Université Lille 3 par l’ACRD (Association pour des Recherches Comparatistes en Didactique) et le Cidel-Théodile, les 20, 21 et 22 janvier 2011, sous la responsabilité d’Yves Reuter et de Bertrand Daunay, avait choisi pour thème les contenus disciplinaires des enseignements.

Qu’est-ce qu’un contenu disciplinaire, comment s’élabore-t-il et quelles spécificités le constituent en objet particulier ? Que devient-il dans les mutations du système d’enseignement, dans le « retour aux fondamentaux », le socle commun, la transversalité des compétences ? Les disciplines s’y perdent-elles ou s’y redessinent-elles au contraire selon un paradigme inédit de ce qu’est l’objet d’enseignement ? Mal aimées des enseignants, qui en retiennent souvent la dissection et la critique théorique de leurs pratiques de terrain, les didactiques apportaient la preuve, à travers ce colloque, de l’importance des analyses de fond sur les phénomènes d’enseignement. Ni prescriptives, ni prédictives, les didactiques ne proposent pas, en effet, de solutions directement applicables ; mais elles apportent à la réflexion, tant pour les praticiens que pour les concepteurs de programmes et d’outils d’évaluation scolaire, le recul nécessaire à la juste appréciation des conséquences et des finalités d’ensemble des pratiques qu’elles interrogent.

Lisez le reportage du Café

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Les disciplines

Cérémonie d’ouverture de l’Année Internationale de la Chimie

2005 : Année Internationale de la Physique. 2009 : Année Internationale de l’Astronomie. 2011 : Année Internationale de la Chimie.

Les Nations Unies au cours de leur 63e Assemblée générale ont adopté une résolution proclamant 2011 « Année internationale de la chimie ». L’UNESCO et l’Union internationale de chimie pure et appliquée (IUPAC) se chargent de l’organisation de cet événement. Cette Année internationale célèbrera les réalisations de la chimie et ses contributions au bien-être de l’humanité. « L’année internationale de la chimie donnera une impulsion mondiale à cette science, sur laquelle se fondent notre vie et notre avenir. Nous espérons accroître l’appréciation et la compréhension de la chimie par le grand public, encourager l’intérêt des jeunes pour la science et générer l’enthousiasme face à l’avenir prometteur de la chimie », a déclaré le Président de l’Union internationale de chimie pure et appliquée (IUPAC), le Professeur Jung-Il Jin. La cérémonie officielle d’ouverture se déroulera au siège de l’Unesco à Paris les 27 et 28 janvier 2011.

Le programme des journées d’ouverture

Le site officiel Français de l’Année Internationale de la chimie

Français : Quelles tensions ? Quels équilibres ?

L’AFEF, association française de professeurs de français, organise le 29 janvier une rencontre sur la professionnalité des enseignants de français. «  A l’heure où la formation professionnelle des enseignants est en voie de disparition, il nous a paru intéressant d’examiner, en effet, le travail de l’enseignant et les gestes professionnels qu’il implique. Nous nous proposons à présent de nous interroger sur les « contours » de la « discipline français ». Parmi les intervenants citons Marie-France Bishop : « Naissance et avatars de la discipline français », Bertrand Daunay : « Le français comme discipline scolaire: tensions, continuité, ruptures » et Claudine Garcia-Debanc : « Les modèles disciplinaires en acte pour l’enseignement du français.

Le programme

Dictionnaire des belgicismes

Vos élèves ce sont plutôt des brosseurs ou des broubeleirs ? Les miens, le matin, j’ai l’impression qu’ils sortent de brûler la culotte… Le Dictionnaire des belgicismes propose plus de 2 000 belgicismes. Une langue riche et savoureuse qui nous rappelle que le français appartient à tout le monde.

Présentation

Parlez vous belge ?

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