2013-2015 : il aura fallu deux années au ministère pour accoucher d’une réforme de l’évaluation. C’est que celle -ci fait débat. Ce dossier fait plus que revenir sur les étapes de cette réforme : la Conférence nationale, le rapport du jury et maintenant les projets d’arrêtés et de décret que le Café pédagogique a rendu publics. Le dossier reprend les termes mêmes du débat. Que savons-nous des notes ? Quelles sont les pratiques d"évaluation dans les classes ?
« Quand on ouvre un chantier c’est un travail long avec des versions différentes et des compromis ». La ministre ne le dira pas mais la nouvelle évaluation, mise en place à l’école et au collège à la rentrée 2016 et présentée à la presse le 30 septembre, est un dernier compromis qui ménage la chèvre et le chou. Conforme aux grandes lignes des documents que nous avons présenté le 28 septembre, la nouvelle évaluation des collégiens et écoliers concilie les partisans des notes et des compétences. Au centre du système, un fichier informatique que les enseignants devront alimenter et au collège, du travail pour le professeur principal chargé de finaliser sur les compétences…
C’est le dernier point de la réforme de l’école obligatoire. Quelques jours après un vote négatif sur les nouveaux programmes, le Conseil supérieur de l’éducation a adopté le 15 octobre les textes définissant l’évaluation du cyclé 1 au cycle 4. Quelques modification ont été acceptées par le ministère qui ne rendent pas toujours plus clairs des textes compliqués. Au final, le brevet sera quasiment accordé aux élèves ayant validé le socle au contrôle continu.
« Quand on ouvre un chantier c’est un travail long avec des versions différentes et des compromis ». La ministre ne le dira pas mais la nouvelle évaluation, mise en place à l’école et au collège à la rentrée 2016 et présentée à la presse le 30 septembre, est un dernier compromis qui ménage la chèvre et le chou. Conforme aux grandes lignes des documents que nous avons présenté le 28 septembre, la nouvelle évaluation des collégiens et écoliers concilie les partisans des notes et des compétences. Au centre du système, un fichier informatique que les enseignants devront alimenter et au collège du travail pour le professeur principal chargé de finaliser sur les compétences…
“Evaluation : le ministère est-il fou ?” , demande le Snalc. A vous de vous faire votre idée grâce aux textes officiels que le Café pédagogique s’est procuré. Il ne s’agit que de projets. C’est mercredi que le ministère fera connaitre son texte définitif qui devra encore passer devant le CSE probablement le 15 octobre. Mais à 48 heures de la publication, les principaux arbitrages semblent faits. Au bout d’une année de communication sur un sujet particulièrement sensible pour les enseignants, après une “conférence nationale”, la remise du rapport du jury présidé par Etienne Klein, le ministère cherche le bon équilibre entre évaluation par compétences et évaluation traditionnelle. Pas sur d’échapper à l’usine à gaz. Pas sûr non plus de contenter tout le monde…
Les politiques doivent-ils avoir leur mot à dire dans les procédés pédagogiques comme l’évaluation ? A coup sûr, la tentative, après 2005, d’imposer l’évaluation par compétences au collège grâce au livret personnel de compétences (LPC) n’a pas laissé un bon souvenir. Ce pensum administratif a détourné les enseignants d’une approche par compétences. Elle a conduit à des pratiques de validation très éloignées des objectifs affichés. Cette tentation d’imposer une nouvelle évaluation bureaucratiquement est-elle écartée par la nouvelle évaluation ? Comment peut-on changer des pratiques profondément ancrées dans le métier ?
Les pratiques d’évaluation sont-elles contestables ? Sans aucun doute. D’ailleurs elles sont de plus en plus souvent mises en doute par les enseignants eux-mêmes. Une véritable révolution silencieuse a eu lieu déjà au primaire et des pratiques nouvelles apparaissent au collège. La machine politique lancée par B. Hamon et reprise par N Vallaud-Belkacem est-elle capable de guider des évolutions dans l’évaluation ? On peut en douter. En faisant de l’évaluation un enjeu politique rend-on réellement service à l’éducation ? L’art d’accompagner le changement a-t-il atteint la rue de Grenelle ?
Février 2015 : La Conférence sur l’évaluation aboutit à une impasse
Qu’est-elle allée faire dans cette galère ? C’est peut-être ce que se dit N Vallaud Belkacem après avoir réceptionné le 13 février le rapport du jury de la conférence nationale sur l’évaluation. Un rapport “qui fera date”, dit la ministre. Mais elle réserve ses décisions pour avril . La ministre veut aller vers “une évaluation positive des acquis des élèves”. Elle veut “abandonner un système qui décourage les élèves et accentue le déterminisme social”. Mais elle décide que la voie empruntée n’est pas la bonne. Le rapport proposait une vision centralisée et normée de l’évaluation. Derrière cette question de la réforme de l’évaluation c’est bien la conduite du changement qui est interrogée. La ministre aurait-elle découvert qu’on ne change pas des pratiques pédagogiques en décrétant le changement ?
“L’évaluation une vraie question politique” : c’est ainsi que Claude Lelièvre titre sa chronique sur son blog. Si l’évaluation est bien une question politique alors quelles conséquences cela a-t-il sur l’Ecole et sur la démarche entreprise par la ministre ? L’évaluation échappe-t-elle au politique ou/et au réglementaire ?
Alors que vont commencer les travaux de la « Conférence nationale sur l’évaluation des élèves », la publication des « Premières propositions du Conseil supérieur des programmes pour l’évaluation et la validation de l’acquisition du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture » constitue, de toute évidence, une promesse de renouveau. Certes, le texte du CSP « ne vise pas une mise en application directe » et comporte, au détour de quelques lignes, les concessions qui pourront autoriser assez facilement un repli stratégique en cas d’urgence politique… Certes, il présente, ici ou là, quelques « contorsions théoriques » étranges et même quelques formulations assez obscures… Mais ne faisons pas la fine bouche : il y a là des propositions susceptibles de faire progresser les pratiques pédagogiques de manière significative, vers plus d’efficacité et de justice, vers plus de vrais progrès intellectuels pour tous les élèves et plus de plaisir d’apprendre aussi…
La récente note de Fondapol demandant la création d’une assurance complémentaire éducation en faveur des classes moyennes devrait choquer au pays des inégalités sociales à l’Ecole. Mais cette note est simplement l’annonce d’un retournement d’opinion dont on mesure mal encore la dimension. Ce glissement à droite de l’opinion pourrait menacer les projets ministériels. Cours Najat, la France réac est derrière toi !
Alors que N Vallaud-Belkacem s’apprête à réunir une conférence de consensus sur l’évaluation des élèves, elle reçoit un renfort inattendu des parents de l’enseignement catholique. En s’appuyant sur les analyses de spécialistes et un sondage réalisé auprès de parents, l’Apel demande une évaluation “partagée” et “un dialogue régulier” entre enseignant, élèves et parents”. Un soutien pour la ministre ?
Difficile pour l’auteur de la « constante macabre » qui lutte depuis des années pour changer concrètement l’évaluation sur le terrain, de ne pas intervenir dans le débat sur l’évaluation. Il rappelle que « la constante macabre n’est pas un problème de notation, mais un problème bien plus profond de culture de l’évaluation ». Pour lui, « il est dangereux et contreproductif de laisser croire que la suppression des notes permettra d’améliorer la situation de l’évaluation en France ».
Comment faire évoluer les conceptions sur l’évaluation sans tout changer ? Comment choisir l’évaluation par compétences tout en supprimant un Livret personnel de compétences abhorré ? Comment supprimer le brevet tout en maintenant un examen final ? Les « premières propositions » du Conseil supérieur des programmes (CSP) cherchent un équilibre qu’il appartiendra à la ministre de valider ou non.
A quoi peut bien servir une conférence nationale sur l’évaluation ? Ceux qui ont des doutes sur sa pertinence ont de bons éléments de réponse dans l’étude innovante qu’a publié le Cnesco le 9 décembre. Sa présidente , Nathalie Mons, à présenté une étude internationale des modes d’évaluation et de leur histoire en abordant la question sous l’angle de l’évolution des systèmes éducatifs. Demandée par la Conférence nationale sur l’évaluation, elle en éclaire singulièrement les objectifs.
Environ 300 personnes ont assisté le 11 décembre à la première journée de la conférence nationale sur l’évaluation. Tout au long de la journée se sont succédés spécialistes et équipes pédagogiques devant le jury de 30 personnes réuni par le ministère. Toutes les interventions vont dans le même sens : démontrer la nécessité d’appliquer une nouvelle évaluation tenant compte des compétences et bienveillante.
“Le consensus existe déjà”. La conférence sur l’évaluation était à peine commencée le 11 décembre au matin qu’un membre du jury de cette “conférence de consensus sur l’évaluation” annonçait publiquement la couleur. La conférence ministérielle ne cherche pas à comprendre mais à convaincre. La volonté de changer l’évaluation s’y affiche et les mesures sont clairement annoncées. La conférence sur l’évaluation n’a rien d’une conférence de consensus.
“La question du système de notation est un faux problème”. Etienne Klein, président du “jury” constitué pour la Conférence nationale sur l’évaluation, a annoncé que l’idée de supprimer les notes ne ferait pas partie des recommandations du jury. La seconde journée de la Conférence, le 12 décembre, a alterne réalisations d’établissements et interventions d’experts. Une seule question a été sérieusement traitée : celle de la docimologie. Le recommandation du jury pourrait s’arrêter là.
L’évaluation des copies est-elle une perte de temps ou un sacerdoce ? C’est la question que pose Claude Lelièvre. Le point de départ de sa réflexion n’est rien moins que la fameuse circulaire de Léon Bourgeois instituant la note sur 20 dans l’enseignement secondaire. Le ministre a-t-il institué la notation ou au contraire en a-t-il relativisé l’importance ? Une fable à méditer.
« La question de la note ne doit pas cannibaliser les débats sur l’évaluation », prévient Benoît Hamon. Dans sa présentation de la Conférence nationale sur l’évaluation des élèves, le Ministre a insisté sur l’importance de ne pas focaliser les passions sur la notation, qui n’est qu’un élément parmi d’autres de l’évaluation scolaire. Ni sans notes, ni toute en notes, l’évaluation doit évoluer pour éviter de renforcer les effets d’inégalité au sein de l’école, liés à une stigmatisation des faibles résultats chiffrés. La conférence lancée le 24 juin, sous la présidence d’Étienne Klein assisté de Michel Quéré et de Florence Robine, recueillera les avis de tous les protagonistes avant de rendre, en décembre, les conclusions qui permettront au Ministre de statuer. Benoît Hamon, qui a prévenu qu’il « serait là » au moment des choix et des décisions, a expliqué son recours à des personnalités ouvertes au dialogue et à la coopération, pour obtenir un réel consensus…
“La question de la note ne doit pas cannibaliser les débats sur l’évaluation”. Le 24 juin 2014, Benoît Hamon avait désigné le risque, pour la conférence nationale sur l’évaluation qu’il lançait, d’un dévoiement. Mais que peut-on attendre de cet événement ministériel ? Est-il à même de changer les pratiques ? Quelles conséquences pour l’École ?
Dans son discours de clôture de la Conférence nationale sur l’évaluation des élèves, Étienne Klein, le président du jury, a avancé une affirmation pour le moins surprenante : « La question du système de notation sur laquelle on ne cesse pas de m’interroger depuis deux jours – Est-ce que nous allons proposer de remplacer l’échelle de 0 à 20 par 4 à 20 ou par 8 à 20 ou par ABCDE ? – est un faux problème (…) puisque tous ces systèmes sont convertibles les uns dans les autres et, en tant que physicien, je puis témoigner du fait qu’on ne change pas la nature d’un problème par un changement de variables. » Cette affirmation qui ne semble souffrir d’aucune contestation, puisque semble-t-il confortée par l’expérience du physicien spécialiste de la philosophie des sciences, pose plusieurs problèmes.
Les notes sont-elles justes ? Certes, s’il est bien une activité que les profs font sérieusement, c’est la notation. Ils en connaissent les conséquences dans un système qui se focalise sur les moyennes. Pourtant quand on compare sa notation à celle de ses collègues, souvent on est très surpris. Pierre Merle révèle dans son dernier livre les résultats de nombreuses études docimologiques (la science de la notation). Au risque d’affronter les tabous.
Dans cet entretien, Fabrizio Butera, un des directeurs de l’ouvrage “L’évaluation, une menace”, revient sur les effets négatifs des notes et ouvre des perspectives pour une autre évaluation.
Quelles méthodes d’évaluation sont utilisées par les enseignants ? Permettent-elles de faire progresser les élèves ? L’Inspection générale publie un nouveau rapport sur “la notation et l’évaluation des élèves ” coordonné par Alain Houchot et Frédéric Thollon. Il dresse un état des lieux intéressant des pratiques d’évaluation de l’école au lycée. Et il affiche ses recommandations. Pour l’Inspection il est temps d’encadrer davantage les enseignants.
Professeure en sciences de l’éducation à Paris 13, Elisabeth Bautier a fait bénéficier de son expertise la Conférence sur l’évaluation. Elle revient sur l’accompagnement au changement, l’évaluation bienveillante et l’évaluation par compétences en démystifiant certains points. Pour elle, ” il faudrait davantage de travail et de formation des enseignants sur la compréhension”.
L’évaluation des élèves est revenue au centre de l’actualité éducative française. Dans le débat public actuel, la pratique de l’évaluation chiffrée est explicitement interrogée et le souhait d’une « évaluation bienveillante » et positive, favorisant la réussite de tous les élèves est clairement exprimé. Sans anticiper sur les décisions politiques qui pourront être prises sur le sujet dans l’avenir, faut-il d’hors et déjà envisager que les enseignants, les parents et les élèves fassent prochainement le deuil de la notation, du moins à l’école primaire et au collège ? Encore une fois, les partisans et les adversaires des pratiques traditionnelles en matière d’évaluation des élèves s’opposent, dans des échanges souvent teintés d’idéologie qui, au bout du compte, risquent d’être assez peu utiles pour que l’école française devienne plus efficace et équitable.
Et si les notes étaient en elles-mêmes un outil pour changer l’Ecole ? En plein débat sur “l’école bienveillante”, plusieurs recherches venues des études de genre sont en train de modifier en profondeur notre conception de l’évaluation. Au final, le laboratoire LIEEP Sciences Po sur les politiques éducatives propose d’utiliser les notes comme un levier pour améliorer les résultats et non comme un indicateur. Il s’interroge aussi sur le rapport que l’École doit entretenir avec les cultures adolescentes.
Critiquées de toutes parts, les notes n’ont plus la cote. Mais ce n’est pas pour autant que l’approche par compétences séduise les enseignants. D’autant que le premier contact, qui rompt avec une tradition d’ évaluation plus que centenaire, prend la forme du livret personnel de compétences (LPC), un fastidieux pensum bureaucratique, un vrai antidote au plaisir d’enseigner. Pourtant des collèges ont spontanément sauté le pas. Ils expérimentent la suppression des notes. Et ils s’en trouvent bien. Mieux : ils y trouvent du plaisir !
Peut-on abandonner les notes au lycée ? Une année d’examen ? Célia Guerrieri, une jeune professeure de lettres, fait le bilan de deux années d’expérimentation en première. “La note est devenue utilitaire pour une grande majorité d’élèves, et non pas le simple constat qu’elle devrait être pour permettre de progresser. Cette dimension utilitariste m’a semblé parfois aller de pair avec un désintérêt pour la matière”, nous dit-elle. Mais, ” évaluer par compétences ne fait pas de miracle”…
Peut-on déjà tirer des enseignements d’une évaluation plus bienveillante ? Au collège Montgolfier qui s’engage dans la classe sans notes, Frédéric Jovi le tente. Pour lui, ” l’attitude des élèves a changé”. Il reste à changer les pratiques des enseignants et les attentes des parents. Ce n’est pas mince…
Nathalie Mons Maître de conférences en sociologie à l’Université de Paris-Est-Marne-la-Vallée et chercheur au LATTS, est spécialisée dans l’analyse internationale des politiques éducatives, Elle a notamment participé en 2008 à un rapport « Responsabilités et autonomie des enseignants », pour la Commission européenne (réseau Eurydice) sur analysait les pratiques d’évaluation des enseignants. Suite à la pétition de l’AFEV, elle analyse ici les pratiques françaises d’évaluation continue à la lumière des expériences étrangères et le débat à l’étranger sur l’évaluation numérique.
Quel bilan dresser des classes sans notes ? C’est ce qu’a tenté l’académie de Poitiers à travers une enquête officielle auprès des enseignants et des collégiens. L’enquête montre que l’impact de cette révolution pédagogique est moins important que prévu.
Dans l’académie de Nantes, le Groupe recherche action formation sur l’évaluation rend un bilan de deux années d’expérimentation. Le GRAF a travaillé sur la différenciation et les classes sans notes. Il a expérimenté un logiciel permettant une évaluation par compétences : scolatix.org. De ces expérimentations de terrain, les enseignants ramènent des questions et quelques certitudes.
L’évaluation des compétences par les enseignants est-elle juste ? La question est posée par la Direction des études et prospectives (DEPP) du ministère de l’éducation nationale dans un petit ouvrage sur “les élèves, connaissances, compétences et parcours”. La Depp ne fait pas que poser la question de la qualité de l’évaluation. Elle a aussi demandé aux enseignants les objectifs poursuivis pour certaines compétences et obtenu des réponses… intéressantes.
L’introduction du contrôle en cours de formation pour l’évaluation du bac professionnel a amené les enseignants à concevoir leur propre façon d’évaluer, estime une étude de J Paddeu et P Veneau du Céreq. L’étude montre que les enseignants évaluent la pertinence du chemin emprunté par le candidat davantage que sa performance. Les enseignants s’écartent largement du référentiel officiel.
Comment se sont passés les conseils de classe sans les moyennes ? Comment faire des bulletins quand on n’a plus de notes ? La question se pose au collège Montgolfier de Paris. Depuis la rentrée, nous suivons grâce à Frédéric Jovi, professeur de technologie, les étapes de la mise en place d’une nouvelle évaluation par compétences dans ce collège. Vous retrouverez régulièrement le récit de cette expérience dans Le Café pédagogique.
2013-2015 : il aura fallu deux années au ministère pour accoucher d’une réforme de l’évaluation. C’est que celle -ci fait débat. Ce dossier fait plus que revenir sur les étapes de cette réforme : la Conférence nationale, le rapport du jury et maintenant les projets d’arrêtés et de décret que le Café pédagogique a rendu publics. Le dossier reprend les termes mêmes du débat. Que savons-nous des notes ? Quelles sont les pratiques d”évaluation dans les classes ?
Le Café pédagogique est un média associatif, imaginé et développé par des enseignants.
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