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« La suppression des coefficients permettrait d’agir contre une baisse du niveau: s’il est impossible de compenser une moyenne faible en langue par une moyenne élevée en maths, les élèves n’auront pas d’autres choix que celui d’être complet et de travailler autant les lettres que les sciences. Autant dire que le niveau général des élèves pourrait même augmenter », explique Clémentine Marcon, une lycéenne élue du SGL. « L’abondance des contrôles en fin de trimestre (pour « faire les moyenne », justement) n’apporte même pas d’aspect positif, puisque les apprentissages sont souvent fais très vite et sous pression. Inutile de préciser qu’une semaine après l’épreuve, la moitié des connaissances s’est déjà envolée. Le problème étant que le système actuel valorise plus le fait de réussir que le reste et est donc, une sorte de machine à trier. »

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