Dans un communiqué du 20 décembre, le Défenseur des droits constate “une grande hétérogénéité dans les prises en charge des mineurs” exilés à Calais et Paris. Il “regrette que l’intérêt des mineurs n’ait pas fait l’objet d’une priorité… L’Etat a multiplié les dispositifs dérogatoires, les sas de transit, en amont du droit commun du dispositif de protection de l’enfance et doit aujourd’hui se mobiliser aux cotés des départements pour les soutenir dans leur mission de protection”. Le Défenseur demande un statut légal et l’accès au droit à l’éducation pour ces mineurs.
