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« A l’heure où la Loi pour une école de la confiance, qui prévoit la suppression institutionnelle du CNESCO est examinée à l’Assemblée nationale puis très bientôt votée, nous avons besoin de clarté sur les conditions de son devenir », écrivent tous les syndicats enseignants (Fsu, Unsa, Cgt, Sgen Cfdt), à l’exception du Snalc, ainsi que les deux fédérations de parents d’élèves (Fcpe et Peep), dans une lettre du 6 février.  » Dans la loi, il n’est indiqué aucune garantie du maintien du CNESCO, aussi il nous faut des informations précises notamment sur les moyens. En quoi consiste le transfert du CNESCO au CNAM ? Quels seraient les moyens humains ? » Autant de questions précises auxquelles le ministre a refusé de répondre le 31 janvier en commission à l’Assemblée. Les syndicats veulent que l’ambiguïté des réponses de JM Blanquer soit levée avant le débat au parlement.

Blanquer ne garantit pas l’avenir du Cnesco