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 » Nous partons avec le mètre enrouleur dans la salle d’à côté qui a un mur entier vide d’affichage… Puis dans le couloir… Puis dans la cage d’escalier… Stupeur ! Gros éclats de rire d’accents français et québécois mélangés ! L’arbre n’irait que dans la cage d’escalier tellement il serait grand ! » Carole Le Beller raconte sur le site de l’Apmep comment la construction d’un arbre de Pythagore a engagé les collégiens et les a amené à faire des recherches.  » Durant le reste de l’année scolaire, l’exploitation de l’activité est repensée. L’expérience magique vécue me confirme que les élèves doivent vivre des moments forts de recherche à leur portée un peu comme celui que nous avons vécu en tant que professeures. Mes élèves chercheurs se retrouvent donc à évaluer et à calculer la taille d’arbres ayant deux branches de la taille de l’arbre d’origine, puis quatre branches pour les groupes les plus rapides. À la demande, je leur fournis le matériel nécessaire : photocopies d’arbres de Pythagore et mètre enrouleur. Ils vérifient leurs résultats sur l’arbre en vraie grandeur dans la salle d’à côté. Plus tard dans l’année, les deux arbres (le petit et le grand) sont exploités pour l’utilisation des puissances ».

Sur le site de l’Apmep