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 » Jean-Michel Blanquer se trouve à présent au pied de deux murs. Le premier est celui qu’il a lui-même élevé avec la mise en œuvre de ses mesures de reformatage de l’école primaire et des lycées, sans parler des réorganisations de l’administration centrale, des rectorats, des instituts de formation et des organismes sous tutelle. Elle provoque des effets collatéraux non prévus ou sous-estimés par lui », écrit Philippe CHampy sur son blog.  » En ce mois de janvier 2020, c’est au second mur auquel va se heurter le ministre. La contestation sociale d’ampleur fait voler en éclats tous les faux-semblants du « progressisme » à la sauce néo-libérale. Derrière le masque du ministre technocrate républicain et affable pointe l’ambitieux politicien qui joue son avenir dans sa capacité à imposer le programme de régression du gouvernement dont les enseignants, par leur masse, sont les premières victimes. »

Sur son blog