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« À quelques semaines du début des épreuves de spécialités (EDS), programmées du 11 au 13 mai, le ministre Blanquer brille par son silence sur le sujet de la reconnaissance de la charge de travail que représentent la correction des copies et l’organisation des épreuves pratiques et orales. Tout est laissé à la main des recteurs et des chefs d’établissement avec de prévisibles différences de traitement pour les enseignants concernés », écrit le Se Unsa. « Si rien ne bouge, la session 2022 marquera un recul en termes de reconnaissance du travail induit par le baccalauréat. Pour la session précédente des EDS (qui n’a finalement pas eu lieu pour cause de Covid), les organisations syndicales avaient obtenu 6 heures libérées ». Le Snes a également demandé des décharges pour ces épreuves.

Communiqué Se Unsa

Snes