“Sans aucune concertation, Valérie Pécresse et la région Ile-de-France réduisent les dotations globales de fonctionnement des établissements”, dénoncent le Snpden Unsa, le syndicat A et I’Unsa. Selon eux, près de 18 millions seraient ainsi récupérés par la région dans la caisse des lycées franciliens. “Sans aucune concertation, V Pécresse et la région Île-de-France ferment des lycées à Paris. Alors pourquoi convoquer les personnels de direction et les adjoints gestionnaires le 17 novembre ?”. Les deux syndicats “constatent que tout est déjà acté”. Ils appellent leurs adhérents à ne pas se rendre à cette réunion. Ils demandent “un calcul transparent de la dotation globale de fonctionnement (DGFL) de chaque lycée et un dialogue de gestion ainsi qu’un “protocole de sécurisation financière” pour les établissements en difficulté. Ils veulent aussi une concertation sur la carte des lycées.
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