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Avec plus
de succès que le “Grand débat”, la question du redoublement soulève
interrogations et débat. Libération du 28 juin publie un petit dossier où
se croisent témoignages d’élèves et de parents et analyses. Ainsi pour E.
Davidenkoff, “si le ministère va au bout de sa volonté de repenser le
redoublement, il n’échappera pas à quelques conclusions hautement
inflammables :.. mise en place d’approches pédagogiques différentes,
ouverture de l’école aux familles et probablement des moyens
supplémentaires”
. Et pour bien montrer l’intérêt de la question,
Marie-Joëlle Gros nous emmène au collège Clisthène au coeur d’une cité
bordelaise. A Clisthène on ne redouble pas. Mais “renoncer aux
redoublements implique de repenser intégralement l’enseignement
. A
Clisthène, chaque élève assiste à son conseil de classe parce que “se
passer de la présence de l’élève est aussi absurde que de faire le bilan de
compétence d’un salarié sans qu’il soit là”
; le tutorat est généralisé;
l’horaire des cours varie. “On n’est pas hors cadre institutionnel. Notre
collège est reproductible.
affirme le principal.
Article de Libération
Article de Libération