Selon
Courrier international, « aujourd’hui les écoles afghanes ont des chaises,
de stables, des fenêtres et des vitres. Mais pas d’instituteurs dignes de ce
nom ». Le nombre d’écoliers et d’écolières a été multiplié par trois
depuis la chute des Talibans. Mais le pays ne trouve pas instituteurs pour
les accueillir.
Article de Courrier international