Par François Jarraud
Exclusif : Le programme de François Hollande pour l’Ecole
La Cour des comptes épingle la formation des enseignants.
Jargon
Le « goût des sciences » réduit à son arôme l La loi Grosperrin en discussion à l’Assemblée l Les transports scolaires toujours perturbés dans la moitié ouest du pays l Chronique de la carte scolaire l Annualisation : La CGT et le SGEN protestent l Remplacements : Escarmouche entre Chatel et la Fcpe l Les profs du privé rencontrent le candidat PS l Les évaluations ne suffisent pas.
J’ai rencontré « l’élève « complet » au Prix national de l’éducation l Musique : Activités durant les vacances.
Pour une évaluation formative des pratiques enseignantes l Découvrez les licences et les masters de l’UPEC….
L’international au colloque de l’ AFAE …
Soirée parité le 7 mars.
S.E.S. : Guerrien et Guesnerie dans Sésâme l Langues anciennes : Le prix Jacqueline de Romilly sur Curiosphère l Sensibilisation au cinéma.
Exclusif : Le programme de François Hollande pour l’Ecole
Refonder l’Ecole, c’est l’objectif que François Hollande fixe à son mandat s’il est élu. Il prononce aujourd’hui, à Orléans, à 18 heures, un grand discours sur la réforme de l’Ecole. En exclusivité, en voici dès maintenant les principaux thèmes.
« Refondation », « redressement moral et intellectuel », François Hollande place l’enjeu de la reforme scolaire très haut. « C’est un nouveau contrat entre l’école et la Nation, un pacte éducatif » qu’il propose, « une réforme globale ». » La France, parce qu’elle est une République, entretient un rapport particulier, privilégié, à son Ecole », déclare-t-il. « C’est le résultat d’une longue histoire, une longue et belle histoire… La liberté humaine, l’émancipation de la personne, l’établissement de la démocratie, supposent une éducation, un apprentissage, une culture, un savoir, des connaissances, mais aussi des combats « . Or » jamais l’Ecole de la République n’a été à ce point attaquée, brutalisée, qu’au cours de ces cinq dernières années, dans ses moyens bien entendu, et tout autant dans ses missions, mais surtout dans ses valeurs. Il va nous falloir rectifier cette erreur qui est une faute, la corriger, la réparer », promet F Hollande. C’est pour lui une exigence démocratique mais aussi économique.
La Cour des comptes épingle la formation des enseignants
En mai 2010, la Cour des Comptes avait publié un rapport d’expertise du système 
éducatif français extrêmement sévère demandant « un nouveau management ». Mardi 8 février, le rapport annuel de la Cour des Comptes convoque encore l’Education nationale. Parmi les sujets abordés : la formation des enseignants, le plan Réussite licence, les réseaux de recherche RTRA. L’enseignement supérieur prend donc une grande part du fardeau…
Didier Migaud, premier président, entouré des présidents de chambre et des magistrats, a présenté le Rapport annuel sous les tapisseries qui rappellent l’ancienneté de cette juridiction, vieille de plus de 7 siècles. Des nombreux sujets abordés par la Cour on retiendra son analyse de l’endettement public et les points qui concernent le système éducatif.
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L’Éditorial de Marcel Brun
Jargon
L’information ne vous a peut-être pas marqué, bien que le Café l’ait signalée il y a quelques jours : le ministère de l’Education Nationale est très bon en ressources humaines. C’est le « bilan de bonnes pratiques de gestion des ressources humaines 2011 » édité par le ministère de la Fonction Publique qui le dit.
Pour quelle prouesse ? C’est tout à fait extraordinaire : 500 enseignants (soit assurément moins que un pour mille) ont fait une demande de DIF. Attention, on insiste sur la « demande ». Rien n’est dit sur le nombre de réponses positives faites par l’Administration dans le délai légal de deux mois. La loi date de 2007, mais la circulaire EdNat de 2010 seulement : un fonctionnaire peut demander à « mobiliser » son Droit Individuel à la Formation, soit pour être prioritaire sur une formation sur le temps de travail, soit pour avoir la possibilité d’accéder à une formation hors temps de travail en étant rémunéré en heures supplémentaires. La démarche passe bien sûr par une demande ad hoc à son supérieur hiérarchique.
500 ! Ce nombre ne laisse pas de nous esbaudir. Rendez-vous compte : quel plus bel exemple de relations sociales apaisées et respectueuses des personnels que ce nombre bien rond ? Dit autrement, moins de un enseignant sur mille (sans doute un sur deux mille, même…) a pu bénéficier de la loi sur la formation. Les plus méritants, peut-être ?
Dans la même veine, on nous apprend quelques pages plus loin que la DGRH a non seulement mis en place un « processus d’identification des potentiels » pour préparer le recrutement des futurs recteurs, mais aussi des « règles innovantes » pour faire recruter par les chefs d’établissements ECLAIR « leurs » enseignants. Parce que, dit le rapport, « les innovations en matière de GRH favorisent l’émergence des innovations pédagogiques et éducatives »… Bon sang, mais c’est bien sûr !
Dommage, déplore le rédacteur de la fiche à la rubrique « freins identifiés », que les « craintes des personnels vis-à-vis des règles de gestion innovantes soient si grandes ». Finalement, les enseignants sont comme certains pauvres : ils ne savent même pas dire merci à ceux qui les traitent si généreusement… Le ministère a bien fait de nommer « Mars » le dispositif qu’il a également inventé pour faire remonter du terrain les informations utiles pour « apprécier les risques sociaux » et « prévenir les conflits sociaux »
Mais puisque nos dirigeants ont tant d’appétence pour le management, nous nous permettons de leur signaler un petit opuscule, paru il y a une dizaine d’années, The Cluetrain Manifesto (Le Manifeste des Évidences), qui liste 90 principes pour faire devenir les « entreprises » plus intelligentes dans leur communication. Citons ici seulement le cinquante-sixième : « Nous voulons que vous arrêtiez votre cinéma et votre repli névrotique sur vous-mêmes ». A moins que le soixante-huitième, tout bien réfléchi… : “Ce jargon gonflé d’importance que vous projetez partout – dans la presse et dans vos conférences – comment pourrait-il nous intéresser ?”
Marcel Brun
Le « goût des sciences » réduit à son arôme
Que reste-t-il du rapport Haigneré qui devait « redonner le goût des sciences et des techniques » aux jeunes ? Pas grand chose ! La présidente d’Universcience a fait 20 propositions parmi lesquelles la valorisation professionnelle des enseignants mettant en oeuvre des projets de culture scientifique et technique, le développement d’activités sur les temps d’accompagnement éducatif, une collaboration étroite entre enseignants et structures de la CSTI, comme Universcience. Finalement Luc Chatel le 8 février n’a repris que 4 propositions : la possibilité pour les étudiants se préparant aux professorat des écoles d’effectuer des stages dans ces structures, une meilleure « identification » par le srectorats des acteurs de la culture scientifique et technique, un référencement de ressources numériques et la mobilisation de professionnels scientifiques et techniques pour qu’ils interviennent dans les établissements.
La loi Grosperrin en discussion à l’Assemblée
L’Assemblée nationale étudie la loi Grosperrin sur la formation des maîtres. Elle attribue la formation des enseignants aux « établissements d’enseignement supérieur, notamment les universités » et fait disparaitre toute référence aux IUFM. « La formation dispensée aux étudiants et aux personnels stagiaires admis aux concours enseignants répond à un cahier des charges », précise une nouvelle rédaction du texte. La loi est discutée alors que le rapport de la Cour des Comptes met l’accent sur les défauts de la masterisation.
Plusieurs syndicats ont protesté contre ce texte qui, selon eux, permettrait de confier la formation à des établissements privés. Pour la Fsu, le texte est aussi un moyen de contrer l’arrêt du Conseil d’Etat qui a rétabli l’ancien cahier des charges de la formation qui la confie aux IUFM.
Les transports scolaires toujours perturbés dans la moitié ouest du pays
Pour la 4ème journée consécutive, les transports scolaires restent interdits dans la frange ouest du pays. C’est le cas dans l’Orne, le Calvados, la Vienne, la Dordogne et la Haute-Vienne. La desserte est partiellement rétablie dans la Manche, l’Eure, l’Eure et Loir, l’Ille-et-Vilaine, les Deux Sèvres, la Charente maritime, la Loire Atlantique, la Mayenne, la Sarthe, le Tarn et Garonne, le Gers, le Tarn, la Gironde, l’Aude.
Chronique de la carte scolaire
Au fur et à mesure que se tiennent les CDEN, le mécontentement monte devant les suppressions de postes. Les rectorats rendent leurs verdicts, les 14 00 suppressions de postes annoncées pour 2012 se concrétisent. La presse quotidienne régionale rend compte des mouvements locaux de protestation qui accueillent les fermetures de classe et les coups portés aux Rased. Parents, élus, enseignants ne se mobilisent un peu partout, les petites rivières locales deviendront elles un fleuve tumultueux ?
Le maire de Cuinchy dans le Pas de Calais a animé le 7 février une réunion publique avec les parents d’élèves contre la suppression d’une classe. Mardi 7, à la Maternelle Oscar-Cléret d’Arras les parents ont symbolisé les enfants de deux ans qui ne seront plus scolarisés à la rentrée prochaine. Le même jour, dans l’Allier, l’Ariège, les Côtes d’Amor, en Lozère, dans l’Orne, en Haute Loire, dans le Tarn et Gaonne, entre autres les enseignants, les élus et les parents d’élèves ont boycotté les CTSD et CDEN. En Savoie, le CDEN du 9 février devrait être perturbé. A Tende dans les Alpes Maritimes: des écoles mortes face aux suppressions de classes. A Clarensac (Gard) les parents occupent l’école depuis le 8 pour protester contre la suppression d’uen classe et d’un poste de Rased. Occupation aussi à Grand Vabre (Aveyron). L’académie retire un poste. Résultat : tous les enfants du village se retrouvent dans une seule classe unique regroupant des enfants de 3 à 11 ans ! Maternelle et élémentaire ensemble… A Paris, le Snuipp 75 appelle à manifester le 9 février contre la suppression de 40 classes et la suppression de 46 postes de Rased. A Conflans Sainte-Honorine, les enseignants du lycée S Weil ont fait grève le 8 pour protester contre la nouvelle DHG.
Annualisation : La CGT et le SGEN protestent
« Luc Chatel s’est positionné comme serviteur zélé d’une campagne électorale qui utilise les ressorts populistes classiques en les déclinant contre les personnels enseignants », explique le Sgen Cfdt en réaction aux propos ministériels du 7 février. « Le sujet du service des enseignants mérite pourtant mieux qu’une provocation grossière. »
« Dans une course effrénée avant les élections, le gouvernement continue donc sa casse du Statut des personnels sans essayer une seule seconde de répondre aux besoins des élèves et des personnels », écrit la Cgt. « Ainsi la globalisation va considérablement alourdir le temps scolaire et donne au ministère une liberté de gestion permettant de supprimer encore des postes.
Concernant l’annualisation, il s’agit tout simplement d’une déréglementation totale du temps de travail des personnels et permettrait, là aussi, des suppressions de postes ».
Remplacements : Escarmouche entre Chatel et la Fcpe
« La Fcpe met le ministre au défi de publier les chiffres réels du non remplacement des enseignants depuis le début de l’année » lance la Fcpe. Elle réagit à la publication d’un communiqué ministériel parlant « d’interprétation partisane » à propos de la publication par la Fcpe du nombre de 27 386 demi-journées non remplacées depuis la rentrée. Selon Luc Chatel cela ferait 0,05% des demi-journées non remplacées ». Le ministre prétend que le taux de remplacement est en hausse passant de 96 à 97% » dans le second degré. Une évaluation qui fait sourire la Fcpe.
Les profs du privé rencontrent le candidat PS
La Fep Cfdt, premier syndicat des enseignants du privé sous contrat, a rencontré le 8 février Bruno Julliard, de l’équipe éducation de François Hollande. A la veille du discours de F Hollande sur l’éducation, la Fep parle de « rencontre ouverte, cordiale et franche ». La Fep-CFDT « a précisé qu’elle était consciente de la nécessité de redéfinir le métier de l’enseignant… Mais elle a réaffirmé qu’il était inconcevable de vouloir opérer des modifications d’ordre pédagogique, réglementaire et statutaire avant d’engager un débat de fond sur l’Ecole et le vote d’une nouvelle loi d’orientation. En ce sens, l’idée de globalisation et d’annualisation du service des enseignants que vient de relancer le ministre de l’Education nationale est une véritable provocation ou pire une basse manœuvre politicienne ».
Les évaluations ne suffisent pas
Il ne suffit pas de mettre en place un système d’évaluation des élèves pour que le niveau monte. C’est toute l’histoire des dirigeants de l’école de l’état de New York, telle que le New York Times la raconte. Etat pionnier dans la mise en place des batteries de tests, New York n’a connu aucun progrès éducatif depuis 2003. En 2003 52% des élèves de CM1 avaient un niveau convenable en anglais, ils sont 51% en 2011.
J’ai rencontré « l’élève « complet » au Prix national de l’éducation
« Ces jeunes gens représentent l’élève complet ». J’emprunte la formule à Emmanuel Rodocanachi, président de l’Académie des sports, qui a remis, avec JM Blanquer et le footballeur Bernard Diomède, le 8 février, les Prix nationaux de l’éducation à deux jeunes. Une cérémonie peu mise en valeur cette année par le ministère même si elle se déroulait dans un lycée particulièrement prestigieux : Louis le Grand.
Marie Bochet, élève du lycée général et technologique Jean Moulin d’Albertville, et Lucas Auboin, élève du lycée polyvalent Joseph Desfontaines de Melle (86), sont les deux lauréats de ce prix qui comprend des finales académiques et des prix nationaux.
Des élèves « complets ». Pour obtenir le prix il faut être à la fois excellent sur le plan scolaire, mais aussi être un grand sportif et très impliqué dans l’établissement ou sa communauté. « Il faut associer les excellences » estime Emmanuel Rodocanachi. Ainsi Marie Bochet est une très bonne élève de première ES. Elle s’est aussi beaucoup impliqué dans le Téléthon à Albertville. Enfin elle est championne de France de ski et vice-championne du monde de descente aux jeux paralympiques. Lucas a un palmarès construit sur le même profil , même s’il s’implique plutôt dans la musique.
Musique : Activités durant les vacances
A Paris, la Cité de la musique organise durant les vacances de février des stages et des spectacles. Les stages de vacances permet de s’initier aux musiques actuelles (pour adolescents et enfants). Des visites ateliers ont aussi proposées tous les jours. Les jeunes et les enfants (à partir de 4 ans et jusqu’à 16 ans) peuvent découvrir le jeu de l’oie musical, les musiques de films, l’orchestre du roi Soleil, les bruits , les instruments etc. Des ateliers de pratique musicale sont aussi proposés.
Pour une évaluation formative des pratiques enseignantes
Comment évaluer les enseignants ? Quelle place pour le chef d’établissement dans cette évaluation ? Pour Marc Aubert, principal de collège, formateur pour la préprofessionnalisation des étudiants aux métiers de l’éducation et pour la formation des enseignants néo-titulaires, » si on pense que la concurrence entre les personnels – concurrence liée à la recherche de la meilleure progression de carrière – suffit à ce que chacun donne le, meilleur de lui-même, il n’est pas utile de procéder à un entretien d’évaluation, sauf à chercher à légitimer sa décision ». Il propose » entretiens individuels et collectifs d’évaluation de l’action professionnelle, menés par les personnels de direction et les corps d’inspection ».
Les réactions épidermiques suscitées par le projet de réforme de l’évaluation des enseignants révèlent une conception individualiste et libérale du métier d’enseignant à travers la mise en cause de la légitimité du chef d’établissement, particulièrement de sa légitimité pédagogique, et la mise en cause de son intégrité professionnelle à travers le risque d’arbitraire évoqué.
Pourtant, gestionnaires, personnels administratifs, infirmier(e)s, CPE, font depuis toujours l’objet d’une notation unique par le chef d’établissement. A ce jour aucun de ces corps n’a formulé de griefs particulier à l’encontre de ses évaluateurs que ce soit à propos d’un éventuel arbitraire de leur part ou que ce soit pour incompétence en la matière. Car ce qui est au coeur de l’évaluation de la valeur professionnelle, ce n’est pas le degré de technicité de chacun des personnels mais le degré d’accomplissement de la mission – telle qu’elle est définie dans les textes statutaires ou réglementaires de chacun de ces corps – au sein de l’établissement, le degré d’adaptation aux élèves de cet établissement et la part prise dans la mise en ?uvre du projet pédagogique de celui-ci.
Découvrez les licences et les masters de l’UPEC
Samedi 11 février, de 10 à 16 heures, l’Université Paris Est Créteil (UPEC) organise sa journée portes ouvertes. Elle vous permet de découvrir l’université. C’est l’opportunité pour vous de rencontrer de manière conviviale des enseignants et des étudiants. Ils vous renseigneront sur le contenu des études, les attraits et les spécificités des différentes filières…
Vous pourrez aller à la rencontre des différents UFR, instituts et écoles et vous renseigner sur les différentes formations que propose l’Université : DUT, Licences, Licences professionnelles, Masters, préparations aux concours de l’enseignement.
Les services d’accompagnement à la pédagogie (services des relations internationales, bureaux d’aide à l’insertion professionnelle, service d’orientation, bibliothèques….), les associations étudiantes et les partenaires de la vie étudiante se mobiliseront pour présenter les différents aspects de la vie étudiante à l’UPEC.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
L’international au colloque de l’ AFAE
« Qu’il s’agisse de la construction européenne, de l’impact des grandes enquêtes internationales de type PISA, de la circulation au-delà des frontières d’idées relatives à l’éducation – mais qui sont parfois originaires d’autres horizons politiques ou économiques – ou même des compétences nécessaires à nos élèves face à un marché du travail fortement internationalisé, des questions liées à des perspectives internationales font de plus en plus souvent irruption au coeur de nos pratiques professionnelles », écrit l’AFAE en présentation de son prochain colloque. Il se déroulera du 16 au 18 mars à Strasbourg avec comme problématique « les enjeux internationaux pour les professionnels de l’éducation ». Les inscriptions sont ouvertes. Au programme, JC Emin, JC Rouanet, JR Cytermann, etc.
Soirée parité le 7 mars
« L’égalité nous la voulons maintenant ! » 45 associations féministes vous donnent rendez-vous le 7 mars à La cigale à Paris pour un débat avec les candidats à la présidentielle.
S.E.S. : Guerrien et Guesnerie dans Sésâme
Les modèles économiques parviennent-ils à expliquer la formation des prix ? Un intéressant échange entre B Guerrien et R Guesnerie sur le site de Sesame.
Langues anciennes : Le prix Jacqueline de Romilly sur Curiosphère
Vous avez jusqu’au 12 février pour vous inscrire au prix Jacqueline de Romilly créé par le ministère « pour valoriser les initiatives pédagogiques innovantes en langues et cultures de l’Antiquité ». Curiosphère vous invite à découvrir Jacqueline de Romilly et propose d’autres ressources sur les civilisations antiques.
Sensibilisation au cinéma
Dans le cadre des Mercredis de Créteil, Carole Desmarais évoquera l’apprentissage du cinéma le 15 février.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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