« Un autre enseignement privé « hors contrat » reste dans l’ombre alors qu’il ne cesse de prendre de l’ampleur : c’est celui qui existe et prospère sans bruit dans l’enseignement supérieur », écrit Claude Lelièvre. Il souligne que le privé scolarise 25% des étudiants avec des domaines où il domine. Il s’agit de fondations, d’associations, mais aussi d’entreprises commerciales. La loi Pénicaud sur l’apprentissage lui a permis de prospérer.
Partager cet article