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« Nous
assurerons ce qui concourt à la réussite des élèves et évidemment à la
sécurité des biens et des personnes, mais nous ne rendrons plus des services
accessoires à l’institution »
. Libération du 19 mars rend compte de la
grogne des chefs d’établissements. Ainsi l’un d’eux témoigne de son désarroi
: « Philosophiquement, je ne me reconnais plus dans ce qu’on me demande de
faire.. Ca fait deux ans que je puise 50 % de ma subvention de
fonctionnement dans les fonds de réserve du lycée ».

Article de Libération