« En effet, cette seconde enquête confirme que le cours d’histoire-géographie est souvent un lieu d’expression des craintes des élèves, mettant l’enseignant face à la question de la gestion des émotions. » C’est une des conclusions de l’enquête menée dans l’Académie de Versailles auprès des professeurs d’histoire-géo sur la guerre en Ukraine et son ressenti dans les classes. Les élèves posent moins de questions sur le conflit, mais ils s’interrogent sur ses conséquences. Le cours d’histoire géo est un lieu de déconstruction du complotisme et aussi un endroit où émergent les peurs.
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