“Il y
a vingt ans, ce sont les usines de chaussures, de textile, de jouets ou
d’électroménager qui ont commencé à partir. Puis ce fut le tour des services
demandant peu de qualifications, comme l’accueil téléphonique ou le
traitement des factures. Maintenant, c’est le tour des ingénieurs et des
chercheurs”. Pour le responsable d’un cabinet conseil, les
délocalisations devraient s’amplifier. L’Expansion réfléchit aux causes et
aux effets. Internet est accusé dans la mesure où il se répand au moment où
sont disponibles les actifs qualifiés et peu chers des anciens pays de
l’est, du Maghreb ou d’Asie. Quand aux effets, si certains emplois qualifiés
sont délocalisés, il restera un “gisement considérable” d’emplois de
proximité.
Article de L’Expansion