Selon
L’économiste, le taux d’échec au bac devient catastrophe nationale : « sur
les 122.198 redoublants (public et privé confondu), seuls 25 à 30% pourront
ou voudront repasser leur baccalauréat… Les autres devront chercher
d’autres voies de recours: chômage et/ou formation professionnelle ou école
privée pour ceux qui en ont les moyens… A cela s’ajoute le facteur
démographique qui contribuera à gonfler le nombre d’élèves au secondaire
qualifiant (actuellement de 574.000) pour le porter à 1 million en 2009 et
1,5 en 2013). Rien qu’aujourd’hui, près de 24% des classes du secondaire
sont en surnombre ». Le quotidien relève que le nouveau bac exige des
élèves de sortir du par coeur et se demande si la réforme est correctement
appliquée.
Article L’économiste